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Sahel : les civils en première ligne dans la « guerre contre la terreur »

Publié le lundi 4 janvier 2021  |  humanite.fr
Simulation
© Autre presse par Sophie Douce
Simulation d’attaque terroriste au Palais des sports de Ouagadougou, au Burkina Faso, le 27 février 2019, dans le cadre de l’exercice Flintlock.
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L’attaque la plus meurtrière survenue dans le Sahel a fait une centaine de morts au Niger, tandis que la France envisage de réduire les effectifs de sa force Barkhane.

Le jour même de la mort de deux soldats français dans l’explosion d’une bombe artisanale au Mali, près d’une centaine de villageois étaient massacrés dans une double attaque au Niger, dans la zone dite des trois frontières. Située aux confins du Burkina Faso, du Mali et du Niger, elle constitue le principal enjeu sécuritaire, autant pour la force militaire Barkhane pilotée par Paris que pour des gouvernements locaux fragilisés par une guerre sans fin. À Niamey, la tuerie survenue à Tchoma Bangou et Zaroumadareye (à environ 120 kilomètres de la capitale) a provoqué un séisme politique alors que la population se rendait aux urnes pour le premier tour de l’élection présidentielle. La double attaque, qui n’a pas encore été revendiquée, a été perpétrée «  par des terroristes venus à bord d’une centaine de motos », a expliqué Almou Hassane, le maire de Tondikiwindi, commune qui administre les deux villages martyrs.
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