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Régulation du secteur de l’énergie : L’ARSE remet son rapport annuel au Premier ministre

Publié le vendredi 8 octobre 2021  |  Le Sahel
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© Autre presse par dr
Régulation du secteur de l’énergie : L’ARSE remet son rapport annuel au Premier ministre
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Le Directeur Général de l’Autorité de régulation du secteur de l’énergie (ARSE), M. Ibrahim Nomao, est allé, hier en fin d’après-midi, accompagné de ses collaborateurs, au cabinet du Premier ministre où il a remis au chef du gouvernement, SE Ouhoumoudou Mahamadou, le rapport annuel de son institution.

Rappelons que la loi et les textes réglementaires font obligation au régulateur du secteur de l’énergie de déposer ses rapports de mission annuels auprès du gouvernement. Ledit document devait parvenir au cabinet du premier ministre au mois de juillet. « Nous avons pris un peu de temps pour pouvoir mettre en œuvre toutes les informations nécessaires dans le rapport », a dit le Directeur Général de l’ARSE, M. Ibrahim Nomao, au sortir de la remise du document. Ce dernier contient deux parties essentielles. « La première partie concerne le propre fonctionnement de l’ARSE, en tant qu’autorité de régulation du secteur de l’énergie. La deuxième partie porte sur les sociétés régulées (la NIGELEC, la SONIDEP et la SORAZ) », a-t-il indiqué. En effet, il s’agit des informations sur les situations financières desdites sociétés, leurs activités, ainsi que leurs difficultés. A travers ce rapport, l’ARSE rend compte au gouvernement des réalités du secteur de l’énergie au Niger.

« Quant aux conclusions de ce rapport, c’est au premier responsable de les divulguer, si elles doivent être divulguées. Nous, on nous demande de faire le rapport au premier ministre, et c’est ce que nous avons fait », a affirmé Ibrahim Nomao. Le directeur de l’ARSE a cependant laissé entendre que « dans l’ensemble, les choses se passent normalement dans les quatre sociétés que nous avons eues à observer. Il ne peut manquer des difficultés mais, dans l’ensemble, nous pouvons dire que les choses se passent normalement ».

Par Ismaël Chékaré (onep)
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