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Covid-19 : ces pays dont les frontières restent encore fermées

Publié le lundi 1 aout 2022  |  beninwebtv.com
Conférence
© Autre presse par DR
Conférence de presse à l’Ambassade de Chine au Niger sur l’évolution de la situation le Coronavirus (COVID-19) : «A la date d’aujourd’hui, aucun étudiant nigérien en Chine n’a été infecté», déclare SE Zhang Lijun
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Même si la pandémie de la Covid-19 n’occupe, tellement, plus l’actualité, il n’en demeure pas moins que certains pays continuent de vivre en vase clos. Alors que certains territoires rouvrent, partiellement, leurs frontières aux étrangers, d’autres sont, totalement, fermés à l’arrivée de touristes.

Plus de 31 mois, après le déclenchement de la maladie virale, à Wuhan, en Chine, la pandémie de la Covid-19 peut sembler un lointain souvenir, dans certaines parties du globe. Pour d’autres pays, au contraire, le mal de décembre 2019 continue de hanter les esprits.

En effet, alors qu’une lutte farouche continue d’être menée contre ce redoutable virus, qui est né sur les terres chinoises, la pandémie semble avoir reculé, même s’il peut y avoir quelques poches de résistance du virus. Dans cette optique, des pays hésitent à rouvrir leurs frontières, au risque de subir d’autres contaminations. Ces pays, même s’il ne sont pas nombreux, ne sont, visiblement, pas près d’accepter des étrangers sur leur sol.

Ces pays continuent de vivre en vas clos …
Le Japon

Durant quelque deux ans, le pays du Soleil-Levant a gardé ses frontières fermées, pour n’assouplir les restrictions qu’à partir du 1er mars 2022, selon une note du ministère français des Affaires étrangères. À compter de cette date, il est, à nouveau, possible de « solliciter une entrée sur le territoire japonais pour un court ou un long séjour », à condition qu’il soit « justifié par un motif professionnel (visa de travail, étudiants) ».

Ces autorisations ne sont, cependant, délivrées qu’aux personnes en mesure de « justifier d’une attestation d’accueil ou de supervision par un organisme, situé sur le territoire japonais (entreprise, université …) ».

Après, au 1er juin, les autorités japonaises ont autorisé un quota de 20 000 entrées par jour, pour les touristes. À ce jour, le Japon continue d’appliquer ces règles et, donc, le pays n’est que, partiellement, ouvert.

La Chine et Taïwan

Depuis mars 2020, l’Empire du Milieu n’est accessible qu’à certains étrangers. Seuls « les étrangers, devant se rendre en Chine pour une raison urgente, peuvent présenter des demandes de visas auprès des ambassades et consulats ». Même, dans ce cas-là, la délivrance d’un tel titre n’est pas garantie, puisqu’elle relève « de la seule appréciation des autorités chinoises », selon le Quai d’Orsay.

Il faut préciser que même les ressortissants chinois, qui vivent à l’étranger, sont soumis à de lourdes restrictions pour pouvoir retrouver leur pays.

Le Turkménistan
Au rang des pays, encore, en vase clos, le Turkménistan reste le plus strict, en termes de restrictions. Actuellement, le pays est, totalement, fermé aux étrangers. L’entrée sur le sol turkmène est, strictement, interdite à tout touriste, sans exception.

Selon le ministère des Affaires étrangères de certains pays, « aucune liaison aérienne régulière ne relie, actuellement, le Turkménistan au reste du monde, et la délivrance de visas […] a été suspendue par les autorités turkmènes, jusqu’à nouvel ordre. »
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