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Billet Héritage de feu Maman Abou : Qui a mis l’affaire sur la place publique ?

Publié le jeudi 18 aout 2022  |  NigerDiaspora
Levée
© Présidence par DR
Levée du corps de Maman Abou, Directeur de publication de l’hebdomadaire "Le Républicain" et PDG de la NIN
Le Président Issoufou Mahamadou a assisté ce jeudi 16 Juillet 2020à la levée du corps de Maman Abou, Directeur de publication de l’hebdomadaire "Le Républicain" et PDG de la NIN.
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Depuis que l’ami de longue date et conseil du défunt Maman Abou, l’avocat Me Soulèye Oumarou, est sorti pour éclairer l’opinion sur le contentieux judiciaire relatif à l’héritage des biens du disparu, les pourfendeurs du Général Mahamadou Abou Tarka jouent désormais sur des cordes dont ils n’ont aucune connaissance. Outre la filiation d’un enfant avec son paternel en islam et sur le plan juridique, certains se permettent même de dresser la généalogie de la famille Abou en vue de ternir l’image du Général Abou Tarka, qu’ils présentent comme un usurpateur qui veut faire main basse sur les biens de son défunt frère au détriment de ses héritiers présumés, les jumeaux de dame Tamo. Ces ‘’généalogistes’’ de service peuvent- ils connaitre mieux la famille Abou que les propres frères et soeurs du défunt ? Peuvent-ils connaître mieux que lesdits frères et soeurs comment la vie de couple entre Maman Abou et dame Tamo s’est déroulée ? Ce n’est pas possible ! Nous sommes sur le registre d’une vie privée de couple, une affaire d’héritage. Comment des personnes qui n’ont aucun intérêt dans l’affaire peuvent-ils prétendre s’ériger en avocats d’une partie, celle de la dame, en cherchant à jeter en pâture le propre frère cadet du défunt, lequel frère cadet a défendu bec et ongles dame Tamo et ses jumeaux contre ses autres frères et soeurs qui n’ont jamais voulu les reconnaître les enfants à cause du doute qui a entouré leur naissance. Les pourfendeurs du Général Mahamadou Abou Tarka l’accusent de souillure de la mémoire de son défunt frère, d’indécence et d’immoralité depuis la sortie médiatique de Me Soulèye qui a permis de lever des coins de voile sur la vie du couple. Me Soulèye n’a rien inventé, tout ce qu’il a dit aux journalistes concernant la naissance des enfants et la vie du couple est exact. Et tous ceux qui ont côtoyé Maman Abou du mariage de la dame jusqu’à son AVC connaissent certains pans de l’histoire. L’abandon des enfants à l’âge de 6 mois par la dame qui a été rapporté par Me Soulèye n’est pas une imagination, c’est la triste vérité. Elle a abandonné les enfants à l’âge de 6 mois à Maman pour aller se remarier à un autre homme alors que Maman était encore cloué, impotent, dans son salon à la maison. Toutes ces choses n’allaient pas sortir si dame Tamo avait fait preuve de patience jusqu’à la majorité de ses enfants. Lors du conseil de famille, le Général Abou Tarka a été désigné comme mandataire des biens jusqu’à cette échéance et chaque mois 2 millions de francs étaient versés aux enfants comme pension alimentaire, indépendamment des autres volets de la prise en charges. Mais comme elle était pressée de s’accaparer de l’imprimerie, c’est elle qui a porté l’affaire sur la place publique, en intentant un procès contre le Général Abou Tarka et en mettant à contribution les réseaux sociaux et certains journaux pour tenter de ternir son image. Mais les détracteurs du Général taisent délibérément ce côté dans leurs critiques insidieuses. Ce qui n’est pas du tout sérieux !

A.Madougou
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