Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Diplomatie
Article
Diplomatie

Les pays membres de l’Alliance des États du Sahel se devraient de rester toujours unis et résilients , la victoire est proche

Publié le jeudi 9 novembre 2023  |  tamtaminfo.com
Ville
© Autre presse par DR
Ville de Niamey
Comment


Soyons vigilants, sereins, soudés, bien débouts et solidaires, la CEDEAO,
l’ UEMOA et les chevaux de troie de la France n’ont pas abandonné le combat contre les pays de l’Alliance des États du Sahel, ils ont changé leur fusil d’épaule.

Face au refus des peuples ouest-africains souverains de cautionner une agression militaire contre le Niger, qui allait, au-delà du Niger, embraser toute la sous-région ouest-africaine pour des raisons géostratégiques et géopolitiques, les chevaux de troie de la France, utilisent maintenant des stratagèmes, la technique de diviser les citoyens de la sous-région ouest-africaine afin d’atteindre leurs objectifs ignobles, créer la chienlit en Afrique de l’Ouest.

Ils recrutent maintenant des jeunes désœuvrés, qu’ils arment contre leurs pays , qu’ils appellent Djihadistes , qui sèment la terreur dans les villes, les villages et hameaux africains.

Mais grâce à la mutualisation des efforts et des moyens, la lutte contre l’insécurité entretenue par la France, donne des résultats éclatants.

La ministre française de l’Europe et des affaires étrangères, Catherine Colonna, s’est rendue au Nigéria pour proposer au président en exercice de la CEDEAO, le président de la fédération du Nigéria , Bola Ahmed Tinubu, d’aider le Nigéria à être, d’une part, membre permanent du conseil de sécurité de l’ONU, au nom de l’Afrique, et d’autre part, aider la CEDEAO à restaurer la démocratie au Burkina Faso, Mali et Niger .
Curieusement la Guinée, le Sénégal, la Côte-d’Ivoire et le Bénin où la démocratie a plus besoin d’être restaurée ne font pas partie de l’agenda français, ce qui a fait réagir le président Bola Ahmed Tinubu, en disant subtilement, en langage diplomatique, à la ministre française de l’Europe et des affaires étrangères, que la présidence de la CEDEAO ,en concertation avec les autres chefs d’État des pays membres, veille soigneusement assez que la transition politique se déroule au Niger sans effusion de sang. Les peuples de la sous-région ouest-africaine sont hostiles à toute intervention militaire contre la république sœur du Niger.

Le conflit sera réglé sous l’arbre à palabre africain , un véritable camouflé lui a été donc réservé au Nigéria.

La ministre française de l’Europe et des affaires étrangères est allée au delà de ses prérogatives, elle s’est permise de proposer au Nigéria de lui faire rapatrier les avoirs financiers de la famille du Général Sani Abatcha, ancien chef d’Etat du Nigéria, présumés détournés, gelés dans les banques suisses.
Le Nigéria sait très bien que les prérogatives de lui restituer les dits biens relèvent du gouvernement de la Suisse.

La ministre française de l’Europe et des affaires étrangères a fait preuve d’une grande naïveté sur la connaissance de la réalité sociopolitique africaine.

Comment la Fédération du Nigéria fera-t-elle confiance à la France qui a toujours nourri des intentions de balkaniser la fédération du Nigéria depuis 1967 à nos jours, les diplomates et les forces armées nigriannes, patriotes, n’oublieront jamais les deux millions des personnes mortes pendant la guerre de cession biafraise soutenue et alimentée par la France, du 6 juillet 1967 au 15 janvier 1970.

Le Nigéria sait très bien que la France ne peut être un pays qui le veut du bien .

Après l’échec cuisant de la manipulation au Nigéria, le président Allassane Ouattara a pris le relais pour un combat d’arrière garde, en utilisant la technique de diviser pour bien régner.
La presse privée est financée et utilisée dans une campagne de dénigrement des pays en transition politique en vue de créer des tensions entre les militaires au pouvoir et les jeunes panafricanistes africains patriotes qui soutiennent les révolutions .

Dans la sous-région ouest-africaine, les peuples souverains ont tout compris, tout président d’un pays membre de la CEDEAO ou de l’UEMOA, qui prêterait son territoire national pour une agression militaire contre le Niger apprendra à ses dépens.

Plus rien ne se fera comme avant.

Les forces vives progressistes africaines se devraient de continuer à mutualiser leurs efforts communs jusqu’à la victoire finale . Icha Allah ! L’ Afrique recouvrera sa souveraineté monétaire et économique.

L ‘ Afrique sortira la tête haute de ce long et pénible combat.

Soyons vigilants, sereins, soudés, bien débouts et solidaires, la CEDEAO,
l’ UEMOA et les chevaux de troie de la France n’ont pas abandonné le combat contre les pays de l’Alliance des États du Sahel, ils ont changé leur fusil d’épaule.

Face au refus des peuples ouest-africains souverains de cautionner une agression militaire contre le Niger, qui allait, au-delà du Niger, embraser toute la sous-région ouest-africaine pour des raisons géostratégiques et géopolitiques, les chevaux de troie de la France, utilisent maintenant des stratagèmes, la technique de diviser les citoyens de la sous-région ouest-africaine afin d’atteindre leurs objectifs ignobles, créer la chienlit en Afrique de l’Ouest.

Ils recrutent maintenant des jeunes désœuvrés, qu’ils arment contre leurs pays , qu’ils appellent Djihadistes , qui sèment la terreur dans les villes, les villages et hameaux africains.

Mais grâce à la mutualisation des efforts et des moyens, la lutte contre l’insécurité entretenue par la France, donne des résultats éclatants.

La ministre française de l’Europe et des affaires étrangères, Catherine Colonna, s’est rendue au Nigéria pour proposer au président en exercice de la CEDEAO, le président de la fédération du Nigéria , Bola Ahmed Tinubu, d’aider le Nigéria à être, d’une part, membre permanent du conseil de sécurité de l’ONU, au nom de l’Afrique, et d’autre part, aider la CEDEAO à restaurer la démocratie au Burkina Faso, Mali et Niger .
Curieusement la Guinée, le Sénégal, la Côte-d’Ivoire et le Bénin où la démocratie a plus besoin d’être restaurée ne font pas partie de l’agenda français, ce qui a fait réagir le président Bola Ahmed Tinubu, en disant subtilement, en langage diplomatique, à la ministre française de l’Europe et des affaires étrangères, que la présidence de la CEDEAO ,en concertation avec les autres chefs d’État des pays membres, veille soigneusement assez que la transition politique se déroule au Niger sans effusion de sang. Les peuples de la sous-région ouest-africaine sont hostiles à toute intervention militaire contre la république sœur du Niger.

Le conflit sera réglé sous l’arbre à palabre africain , un véritable camouflé lui a été donc réservé au Nigéria.

La ministre française de l’Europe et des affaires étrangères est allée au delà de ses prérogatives, elle s’est permise de proposer au Nigéria de lui faire rapatrier les avoirs financiers de la famille du Général Sani Abatcha, ancien chef d’Etat du Nigéria, présumés détournés, gelés dans les banques suisses.
Le Nigéria sait très bien que les prérogatives de lui restituer les dits biens relèvent du gouvernement de la Suisse.

La ministre française de l’Europe et des affaires étrangères a fait preuve d’une grande naïveté sur la connaissance de la réalité sociopolitique africaine.

Comment la Fédération du Nigéria fera-t-elle confiance à la France qui a toujours nourri des intentions de balkaniser la fédération du Nigéria depuis 1967 à nos jours, les diplomates et les forces armées nigriannes, patriotes, n’oublieront jamais les deux millions des personnes mortes pendant la guerre de cession biafraise soutenue et alimentée par la France, du 6 juillet 1967 au 15 janvier 1970.

Le Nigéria sait très bien que la France ne peut être un pays qui le veut du bien .

Après l’échec cuisant de la manipulation au Nigéria, le président Allassane Ouattara a pris le relais pour un combat d’arrière garde, en utilisant la technique de diviser pour bien régner.
La presse privée est financée et utilisée dans une campagne de dénigrement des pays en transition politique en vue de créer des tensions entre les militaires au pouvoir et les jeunes panafricanistes africains patriotes qui soutiennent les révolutions .

Dans la sous-région ouest-africaine, les peuples souverains ont tout compris, tout président d’un pays membre de la CEDEAO ou de l’UEMOA, qui prêterait son territoire national pour une agression militaire contre le Niger apprendra à ses dépens.

Plus rien ne se fera comme avant.

Les forces vives progressistes africaines se devraient de continuer à mutualiser leurs efforts communs jusqu’à la victoire finale . Icha Allah ! L’ Afrique recouvrera sa souveraineté monétaire et économique.

L ‘ Afrique sortira la tête haute de ce long et pénible combat.
Commentaires