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Politique : Quand les intérêts mesquins prennent le dessus...
Publié le jeudi 27 fevrier 2014   |  La Roue De L’Histoire




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Il n'y a pas si longtemps, l'opinion publique percevait l'année 2014 comme le point dé départ de l'amorce d'un véritable développement socio-économique du Niger et ce au regard des gros investissements prévus dans la loi des finances. Rien qu'au cours de ce mois de février 2014, c'est tout un, processus de lancement des grands projets porteurs de croissance qui ont été lancés.

Il s’agit, entre autres, du bouclage de financement des travaux de construction du barrage hydroélectrique, de Kandadji, l'adoption en conseil des ministres du projet de prêt EXIM BANK estimée à quelque 480 milliard de francs CFA, le démarrage prochain de la construction de la gare ferroviaire de Niamey et le lancement des travaux de construction d'un deuxième échangeur à Niamey, un des plus grands de la sous-région. . .

D'autres projets, d'intérêt général comme la construction de l'usine de charbon de Salkadamna, l'usine de comme la construction de l'usine de’ charbon de Salkadamna, l'usine de sucre de Dosso, le port sec de la ville de Dosso, l'usine de fabrication des bouteilles de gaz toujours à Dosso, le projet d’exploitation de l'excédent de l’électricité de la raffinerie de Zinder, pour ne citer que ces quelques exemples qui seront lancés au cours de cette année 2014. On estime à plusieurs dizaines de milliers le nombre d'emplois directs et indirects qui seront créés grâce à tous ces projets de grande envergure qui ne tarderont pas à démarrer étant donné que tous les financements sont totalement acquis.

Seulement voilà, le démarrage de ces gros investissements qui feront de notre pays l'e nouvel eldorado de la sous-région, intervient à un moment où l’opposition politique nigérienne est plus que jamais déterminée à pulvériser tout l’élan du Chef de l’Etat lssoufou Mahamadou dans sa dynamique de sauver le peuple de l’extrême pauvreté. Depuis son accession au pouvoir, le 7 avril 2011 à aujourdîhui, le Président de la République a réussi à donner un nouveau souffle à bon nombre de secteurs sociaux comme celui de l'éducation à travers le recrutement de plusieurs milliers d’enseignants et Ia construction des milliers de classes en matériaux définitifs; le recrutement d'un nombre important d'agents de santé et médecins, et dans le domaine de l’agriculture. A tous ces recrutements, il faut ajouter plusieurs autres actions de développement, qui relèvent de la construction des infrastructures routières, de l'hydraulique villageoise et urbaine, et des aménagements hydro-agricoles, etc. Tous ces ouvrages sont visibles sur le terrain partout ailleurs sur le territoire national.

Bon nombre d’observateurs avertis restent convaincus que des ouvrages déjà réalisés ainsi que les projets de développement mis en œuvre placeront le Niger dans le cercle restreint des pays émergents. C’est pourquoi, la communauté internationale dans son ensemble et les institutions financières internationales ont à l'unanimité décidé d'apporter leur contribution pour accompagner le développement de notre pays. Au plan national, ils sont nombreux aussi les nigériens qui ont fini par être séduits par toute ses initiatives de développement mises en œuvre dans le cadre du programme de la renaissance du président issoufou Mahamadou. Il n’y a que l’opposition politique qui s'obstine à tout peindre en noir ou qui porte des lunettes en bois pour éviter de voir les actions concrètes pourtant visibles sur le terrain, réalisées à grands frais par le régime en place, en seulement trois années de gestion de pouvoir d’Etat pour le bonheur du peuple nigérien.

Il est évident que toute l’opposition politique à vocation à conquérir le pouvoir d’Etat. Mais pour le pas du Niger, le comportement de celle-ci surprend plus d'un observateur au point où l'opinion publique se demande si les opposants nigériens tiennent véritablement compte de l’intérêt général. Sinon nul ne peut expliquer tous ces agissements de l’opposition politique nigérienne à un moment où notre peuple et la communauté internationale dans son ensemble saluent tous les efforts de développement que déploient les plus hautes autorités du pays. Sous d’autres cieux et face à certaines questions très, déterminantes pour le développement d’un pays c'est normalement toutes les sensibilités politiques, l’opposition politique comme la majorité au pouvoir qui doivent faire bloc pour soutenir chaque œuvre de construction nationale. D’ailleurs, l’on se rappelle, sous la transition de Salou Djibo, plusieurs acteurs politiques et ceux de la société civile ont institué un acte républicain qui veut que tous les fils de la nation fassent l’unanimité autour de certains sujets d’intérêts général dans n’importe quelle circonstance.

Hélas, aujourd’hui beaucoup d'acteurs semblent oublier leur engagement pourtant pris sur l'honneur à travers ce pacte républicain. Tous les projets de développement mis en œuvre jusque là et ceux à venir par le régime en place pour le bonheur du peuple laissent à chaque fois un goût amer chez l'opposition politique nigérienne dont les principaux acteurs pensent que saluer de tels actes revient à consacrer le succès de lssoufou Mahamadou dans le cadre de son mandat présidentiel et que cela finirait par renforcer son aura d’homme politique auprès de ses concitoyens. L'opposition oublie que le chef de l’Etat accomplit toutes ces œuvres dans l’intérêt bien compris de tous les nigériens et non pour son propre confort ou celui de sa famille.

Voilà tout le complexe de l'opposition politique nigérienne. Pour ce faire, il faut tout peindre en noir et présenté le Niger comme, un pays mal géré où sévissent la mal gouvernance, la violation, des libertés publiques, etc. Pire, si l'on manipule partout où c’est possible afin ode jeter l’opprobre sur la république. Si au plan national l’opposition a réussie embrigader dans son combat certaines couches sociales et intoxiquer l'opinion, par contre au plan international les choses sont plus corsées pour elle. Les incessants discours va-t-en-guerre distillés de jour comme de nuit; la sale campagne de dénigrement et d'intoxication, et bien d'autres montages grossiers contre l’Etat n‘ont apparemment pas eu une oreille attentive au niveau de la communauté internationale.

Lamine Souleymane



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