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L’ARDR : les marchands de troubles !
Publié le mardi 1 avril 2014   |  tam tam info




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Pour son malheur, le Niger avait eu comme dirigeants politiques la décennie passée des gens comme Tandja Mamadou, Hama Amadou, Mahamane Ousmane, des personnalités politiques dépourvues de toute vision et qui n’avaient que le seul souci de s’en mettre plein les poches, eux et leurs clans, pendant que le pays végétait dans la plus grande précarité.
Pendant une décennie ce fut la stagnation, le surplace, voire dans bien de domaines, la régression du Niger, car on ne pouvait construire ce pays avec à sa tête des prédateurs. Cela, naturellement, enfanta du tazarché pour continuer le banquet funeste. Pour son bonheur, après avoir entendu les immenses prières du peuple nigérien, Dieu sauva le Niger des griffes des prédateurs en faisant élire à la présidence de la république, sur la base d’un programme ambitieux et volontariste, un patriote convaincu en la personne de Issoufou Mahamadou. Aujourd’hui, la réalisation du programme de la renaissance du Niger a dépassé les frontières nationales et fait, un peu partout, des émules au point que certains éminents analystes occidentaux prédisent que le temps du Niger est arrivé ! Voilà la source principale de l’angoisse et du désarroi d’une certaine ARDR qui voit chaque jour qui passe ses horizons politiques s’obscurcir.
Le plus inquiet, le plus angoissé de cette opposition est sans doute Hama Amadou, président de l’Assemblée Nationale et président d’un reliquat du Lumana, cet ancien allié du PNDS qui voulait être roi à la place du roi, sans passer par la case élection ! Perdant progressivement du terrain chaque jour, l’ARDR n’a aujourd’hui d’autres moyens de lutte que la désinformation, l’intoxication et la délation pour salir et ternir l’image de notre pays aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. A la tête de partis politiques qui se ‘’groupuscularisent’’ chaque jour que Dieu fait, les trois leaders de l’ARDR et leurs guignols, en sont aujourd’hui réduits à recourir aux méthodes peu orthodoxes pour tenter de déstabiliser le régime de la Septième République en alimentant des foyers de tensions artificielles dans certains secteurs sociaux du pays.
Ce fut d’abord le syndicat des chauffeurs de taxis qui avait été mis à contribution pour paralyser la ville de Niamey dans le but de faire révolter les habitants de la capitale. Mais ce fut peine perdue, car, très vite, le gouvernement a su prendre ses responsabilités pour rendre les grèves moins impactantes pour les populations. Auparavant, c’était une partie de la Société civile qui avait été instrumentalisée pour faire capoter les négociations entre l’Etat du Niger et AREVA en exigeant que lesdites négociations se déroulassent à Katako pour plus de transparence !
Là également, ce fut choux blanc car l’enfant de Dandadji est un ingénieur des mines qui sait mieux que quiconque ce qu’il faut faire ou dire pour revaloriser les ressources minières et énergétiques du Niger. Ce fut ensuite le tour des syndicats de contractuels et autres enseignants d’être embrigadés pour déstabiliser l’école nigérienne au moyen de grèves perlées qui perturbent fortement le déroulement de l’année scolaire en cours. Pourtant, jamais dans l’histoire contemporaine du Niger, les contractuels et autres enseignants n’ont bénéficié d’autant d’attentions de la part des pouvoirs publics que sous le régime de la Septième République. Aujourd’hui, après l’échec retentissant de toutes ces tentatives de déstabilisation du régime de la Septième République, c’est au tour des syndicats scolaires d’être appelés à la rescousse par les has been de l’ARDR. Sinon, comment comprendre qu’en plein mois de mars, à quelques deux mois des examens de fin d’année, des manifestations scolaires violentes sont organisées un peu partout sur le territoire national sans presqu’aucune plateforme revendicative crédible ? Il faut y voir là la main évidente des marchands de troubles qui, défaits sur le terrain politique, jouent les prolongations à la déloyale en attisant des foyers de tensions un peu partout dans le pays.
Comme si tout cela ne suffisait pas, le président de l’Assemblée Nationale, Hama Amadou, profitant de la tribune de cette auguste assemblée, s’est fendu dans un discours en des termes à peine voilés pour apeurer les potentiels investisseurs étrangers en déclarant que le Niger était en crise, tout simplement parce que le Lumana est à l’opposition ! Quelle irresponsabilité, quel antipatriotisme ! En réalité, il faut comprendre tout ce combat d’arrière- garde de l’ARDR qui, à bout d’arguments politiques crédibles, ne peut rien opposer au pragmatisme et au volontarisme du Président Issoufou dont l’ambitieux programme politique est en train de transformer, sous nos yeux, le Niger. Voilà pourquoi les leaders de l’ARDR s’activent et se défoncent, dès la nuit tombée, dans des combinettes pour créer les conditions d’une véritable chienlit dans le Niger.
Mais Allah le Tout-Puissant veille, car Il sait ce qui bat dans le coeur de chacun d’entre-nous, et Dieu n’aime pas les injustes. Issoufou Mahamadou n’est pas un combinard politique, mais un homme politique entier, habité par la grâce divine qui lui fait prendre le dessus sur ses adversaires à chaque fois que ceux-ci tentent d’obstruer la volonté divine.

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