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Communiqué de presse de la cellule de communication de l’assemblée nationale
Publié le lundi 20 mai 2013   |  Le Sahel


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© Autre presse par DR
le ministre d`Etat, des Affaires Etrangères, SEM. Mohamed Bazoum


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Le samedi 18 Mai 2013, l’avocat du Ministre d’Etat chargé des Affaires étrangères, de la coopération, de l’intégration africaine et des Nigériens à l’extérieur a animé un point de presse, relativement à un article paru dans un journal de la place, dans lequel le Ministre d’Etat Bazoum Mohamed a été mis en cause.

Lors de son point de presse, l’avocat maître Illo Issoufou a déclaré que le journaliste auteur de l’article, est conseiller en communication à l’Assemblée nationale, donnant ainsi l’impression à l’opinion que le Président de cette institution est le commanditaire ou, à tout le moins, le complice de l’article mettant en cause le ministre d’Etat Bazoum Mohamed. Or, il n’en est absolument rien car, sa fonction de conseiller en communication à l’Assemblée nationale n’enlève pas au journaliste auteur de l’article sa liberté de pensée et d’agir dans le cadre de son travail de collecte, de traitement et de diffusion de l’information.

On ne saurait donc faire un quelconque lien entre ce que le journaliste qu’il était depuis une quinzaine d’années a écrit dans son journal et sa fonction de conseiller en communication à l’Assemblée nationale, sauf à vouloir nuire délibérément au président de cette institution. Quel intérêt le président de l’Assemblée nationale, deuxième personnalité de l’Etat, a-t-il à nuire à un régime dont il a beaucoup contribué à l’avènement ? Qu’est-ce qui pouvait opposer le président de l’Assemblée nationale au ministre d’Etat Bazoum Mohamed avec qui il a toujours entretenu d’excellentes relations ?

Du reste, combien de fois le président de l’Assemblée nationale a essuyé les attaques de certains journaux dont les fondateurs et directeurs de publication sont membres des cabinets de certaines institutions ou de ministères ? Doit-on pour autant aller dans la logique de Me Illo Issoufou pour considérer que ces journaux sont manipulés ? En tout état de cause, la cellule de communication de l’Assemblée nation estime qu’il est malséant d’entretenir délibérément l’amalgame entre les missions de ladite cellule et les activités que mènent individuellement ses membres.

Aussi, tout en laissant à Me Issoufou la responsabilité des insinuations qu’il a faites, avec tout ce que cela comporte d’excès à éviter, la cellule de communication de l’Assemblée nationale informe-t-elle l’opinion publique qu’elle n’exerce aucun pouvoir sur les organes de presse privés, y compris ceux dans lesquels certains de ses membres exercent.

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