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Demande de levée d’immunité parlementaire A propos du faux diplôme du député du PNDS Tarayya
Publié le vendredi 14 juin 2013   |  Le Monde d'Aujourd'hui


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Le député du Parti Nigérien pour la Démocratie et le Socialisme (PNDS Tarayya) intéresserait la justice. Sur ce dernier pèse une présomption de faux et usage de faux relativement au diplôme qu’il a présenté dans son dossier de candidature aux dernières élections législatives. Déjà, il y a de cela deux ans, en début du mandat de l’actuel parlement, l’affaire a fait un grand bruit dans les médias sans produire l’effet souhaité, à savoir l’invalidation de la victoire du candidat Cherif. Pourquoi donc un regain d’intérêt pour ce dossier qu’on croyait aux oubliettes ?

Toutefois, on ne manque pas d’entendre une autre version notamment que cette affaire de faux diplôme serait un subterfuge pour noyer le poisson dans l’eau, le député du Tassara serait devenu trop encombrant pour le pouvoir, sans aucune autre précision. Alors, dans les milieux politiques, on ne manque pas d’entendre toutes sortes de supputations que cette « chasse aux sorcières » pourrait avoir un rapprochement avec les différents trafics qui pullulent la zone nord du Niger et l’insécurité. L’un dans l’autre, pour cette session écoulée, le député du PNDS l’a échappé belle.

Mais pour combien de temps encore. Car si cette affaire de faux et usage de faux venait à s’avérer, le député de Tassara risque de perdre ses droits civiques mais également sa liberté. En effet, le chef d’inculpation qui plane au dessus de sa tête est passible d’emprisonnement ferme. Revenons au fameux faux diplôme dont nous publions copie en fac-similé. Il s’agit d’un BEP option Agent administratif et bureautique obtenu par Mohamed Chérif né en 1958 à Tassara (Tchintabaraden) avec la mention bien et délivré le 17 juillet 1995 par l’Institut d’Informatique et d’Electronique.

Les premiers éléments d’investigations fournis par les dénonciateurs de l’usager du diplôme et qu’il n’aurait jamais atteint un tel niveau d’études.

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