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"Trafic de bébés": H. Amadou au Burkina
Publié le jeudi 28 aout 2014   |  BBC


Le
© Autre presse par DR
Le President Hama Amadou, président du Bureau Politique National, Président du parti à l’occasion du Congrès Extraordinaire du MODEN/FA LUMANA-AFRICA


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Le président du parlement Hama Amadou, dont l’audition a été autorisée mercredi par la justice aurait quitté le Niger.

Le président du parlement, en attente d’être interrogé sur un présumé trafic de bébés du Nigéria,est au Burkina Faso.

"Je peux vous dire qu’il a quitté discrètement le pays et est actuellement à Ouagadougou au Burkina Faso, dont les autorités ont confirmé la présence", a déclaré à l’AFP un responsable de l’opposition nigérienne, confirmant une information de la télévision d’Etat et d’une chaîne privée.

La deuxième épouse d’Hama Amadou, Abdou Labo, le ministre nigérien de l’Agriculture du pays, ainsi que 16 autres personnes ont déjà été arrêtées pour leurs liens présumés avec un réseau de trafiquants de bébés entre le Nigeria, le Bénin et le Niger.

Toutes sont inculpées de supposition d’enfant (délit qui consiste à attribuer la maternité d’un enfant à une femme qui ne l’a pas mis au monde), faux et usage de faux et de déclaration mensongère.

L’annonce de la fuite d’Hama Amadou intervient quelques heures après que les membres du parlement nigérien ont levé son impunité.

Il devait être interrogé par un juge dans les prochains jours.

Selon une source parlementaire, Hama Amadou a saisi le Conseil constitutionnel pour qu’il se prononce "sur la légalité" de la procédure.

"Il ne faut pas que nous basculions dans la rupture d’égalité des citoyens devant la loi. Pour une même affaire, des Nigériens croupissent en prison depuis des mois et d’autres sont en liberté", a argumenté Mohamed Ben Omar, député proche du pouvoir et troisième vice-président du Parlement.

Le président de l’Assemblée nationale est considéré comme le principal adversaire du chef de l’Etat Mahamadou Issoufou pour l’élection présidentielle.

Ses alliés ont dénoncé les récentes interpellations comme une manœuvre politique.
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