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CAN 2015 : les réactions après le tirage au sort
Publié le jeudi 4 decembre 2014   |  RFI


Football
© AFP par STEPHANE DE SAKUTIN
Football / CAN 2015 : le tirage au sort
Mercredi 3 décembre 2014. Malabo en Guinée Equatoriale. La Confédération africaine de football (CAF) a procédé au tirage au sort de la phase finale de la 30 édition de la Coupe d`Afrique des nations (CAN)


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Une « fierté » pour le Congo de Claude Le Roy. « L’inconnu » pour le Sénégal d’Alain Giresse. Un « bon espoir » pour le Mali d’Henryk Kasperczak. Des « attentes » malgré tout pour la Côte d’Ivoire d’Hervé Renard. Un « challenge très excitant » pour la Guinée de Michel Dussuyer. Retrouvez les réactions après le tirage au sort de la CAN 2015, ce 3 décembre 2014 à Malabo.

De notre envoyé spécial à Sipopo,

Claude Le Roy, sélectionneur du Congo-Brazzaville (groupe A) :
« C’est une fierté que mon équipe dispute le match d’ouverture de la CAN. On a beaucoup de chance de jouer contre le pays hôte, la Guinée équatoriale. Parmi mes jeunes joueurs, aucun n’a disputé une Coupe d’Afrique des nations. Ils vont tous la découvrir, et ce après quinze années d’absence du Congo en phase finale. […] Tout le monde va être focalisé sur ce match d’ouverture. Il ne faudra surtout pas être inhibés et essayer de prendre du plaisir et de bien jouer. Après, on sait que ce sera un groupe compliqué avec le vice-champion d’Afrique (le Burkina Faso). Il y a aussi le Gabon qui est une équipe de très haut niveau. Nous, on est là pour apprendre. Mais, parfois, certains élèves apprennent très vite. »

Sita Sangaré, président de la Fédération burkinabè (groupe A) :
« Je ne me hasarde pas à des calculs, car j’ai la faiblesse de penser que toutes les équipes qui atteignent la phase finale sont outillées pour cette compétition. Donc, c’est la qualité de la préparation qui va déterminer quelles équipes sortiront en tête de ce groupe. […] Nous connaissons le Gabon. Nous étions dans la même poule qu’eux en éliminatoires. Ils avaient fini premiers. C’est une vieille connaissance. Comme le Congo-Brazzaville que nous avons affronté lors des éliminatoires de la Coupe du monde. […] Il ne faut pas oublier que le Burkina Faso est vice-champion d’Afrique et a un statut à défendre. »

Georges Leekens, le sélectionneur de la Tunisie (groupe B) :
« Il y a un groupe encore plus mortel (sic) que le nôtre. Il faudra tout de même faire attention. C’est un groupe où nous pouvons réussir. Nous étions dans le " groupe de la mort " en éliminatoires, avec le Sénégal, l’Egypte et le Botswana. On va donc faire comme lors des qualifications et prendre match par match. On est confiants mais on doit garder les pieds sur terre. […] Je crois que la Zambie de mon ancien élève, Kalusha Bwalya (le président de la Fédération zambienne, Ndlr), que j’ai dirigé au Cercle Bruges (en Belgique) est forte. On va nous classer comme favoris avec la Zambie. Durant ce tour-là, on devra donc faire attention. »

Yazid Mansouri, sélectionneur adjoint de l’Algérie (groupe C) :
« On n’a pas été gâtés. C’est une compétition de haut niveau. De grandes nations participent à cette CAN. A nous de faire valoir nos arguments. On dispose d’une belle génération. On sort d’une belle Coupe du monde. Il faut donc se focaliser davantage sur nous-mêmes que sur nos adversaires. […] Après, il faut oublier la Coupe du monde au Brésil. C’est une autre compétition, ici. Les conditions ne sont pas du tout les mêmes, que ce soit au niveau climatique ou au niveau de l’environnement. Il va falloir s’adapter à tout ça. »

Alain Giresse, sélectionneur du Sénégal (groupe C) :
« Ça va être très compliqué. Ça veut dire qu’il faudra qu’on soit dans les meilleures conditions possibles. […] Tous nos adversaires sont coriaces. On ne peut pas insister sur l’un plus que sur l’autre. […] Il va falloir établir une liste de joueurs, préparer le regroupement. C’est toujours nécessaire d’avoir une bonne préparation. Et là, elle le sera d’autant plus. […] Nous, on tombe dans le groupe situé à Mongomo. Après, qu’en sera-t-il des conditions d’hébergement sur place ? Ce sera l’inconnu pour nous. Souhaitons que nous puissions trouver des conditions acceptables à Mongomo. »
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