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Mahamadou Issoufou : "Les Occidentaux ne nous ont pas demandé notre avis avant de renverser Kadhafi"
Publié le dimanche 28 decembre 2014   |  Jeune Afrique


Visite
© Présidence par DR
Visite d`amitié et de travail du président Mahamadou Issoufou au Gabon
Mardi 15 avril 2014. Gabon. Le président de la république, Issoufou Mahamadou a effectué une visite de 48h les 15 et 16 avril 2014. Photo : Le président de la république, Issoufou Mahamadou


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Le président du Niger, Mahamadou Issoufou, a accordé une interview à Jeune Afrique, à lire dans l'édition n°2816-17 en kiosque du 28 décembre au 11 janvier.

Quatre ans après son arrivée au pouvoir, Mahamadou Issoufou est en première ligne sur le front de la lutte contre les groupes jihadistes au Sahel. Le chef de l’État sait bien qu'il doit chaque jour veiller à la sécurité du Niger, tout en maintenant un équilibre délicat entre le respect de la souveraineté de son pays et l'indispensable appui militaire français.

Mais sa grande inquiétude, c'est la situation en Libye. Et sur le sujet, il n'y va pas par quatre chemins. Il faut, dit-il, une nouvelle intervention militaire : "Les Occidentaux ne nous ont pas demandé notre avis avant de renverser Kadhafi en 2011. Mais mon opinion est claire : nous ne pouvons pas laisser la situation se dégrader indéfiniment. À trop hésiter, c'est tout le Sahel qui, dans quelques mois, risque de se transformer en chaudron."

>> Lire aussi : Idriss Déby Itno se lâche sur la crise libyenne

Zaki ("le lion", en haoussa) n'a donc rien d'un fauve endormi, lui dont personne ne doute qu'il sera candidat à un – deuxième et dernier – mandat de cinq ans, en 2016. Et il n'a éludé aucune des questions de Jeune Afrique, ni sur la fuite à l'étranger d'Hama Amadou, l'ancien président de l'Assemblée nationale réfugié en France et recherché dans le cadre de l'affaire dite des "bébés volés" ("Ce monsieur a des problèmes avec la justice de son pays, pas avec moi"), ni sur l'accord signé avec Areva, ni même sur l'achat d'un avion présidentiel à 30 millions d'euros ("Pourquoi, chaque fois qu'un chef d'État africain achète un avion, faut-il qu'il y ait polémique ?", s'agace-t-il).
... suite de l'article sur Jeune Afrique


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