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Lutte contre Boko Haram : les couacs de la coopération entre le Tchad et le Nigeria
Publié le samedi 28 mars 2015   |  Jeune Afrique


Sommet
© AFP par ALAIN JOCARD
Sommet extraordinaire sur la lutte contre la secte islamiste Boko Haram
Samedi 17 Mai 2014. Paris(France). Cinq chefs d’Etat africains et François Hollande, lors du sommet extraordinaire sur la lutte contre la secte islamiste Boko Haram. photo: Mahamadou Issoufou, François Hollande, Goodluck Jonathan


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Le Tchad est le pays le plus impliqué dans la lutte contre Boko Haram. Son armée est la seule à s'être autant aventurée en territoire nigérian. Mais sa coopération avec Abuja laisse à désirer. Explications.

Comme il en a l'habitude, lorsqu'il veut faire passer un message, Idriss Déby Itno ne s'embarrasse pas avec les formes. Interrogé par l'hebdomadaire français Le Point sur la coopération entre son pays et le Nigeria dans le cadre de la lutte contre Boko Haram, le président tchadien est allé droit au but : "Le constat que je peux faire, deux mois après le début de cette guerre, c’est que nous n’avons pas pu avoir un contact direct, sur le terrain, avec des unités de l’armée nigériane. C’est ce qui a, plus d’une fois, obligé les forces tchadiennes à reprendre des villes et à ressortir", a-t-il déclaré.

"Vous comprendrez la difficulté pour nous de rester, même si c’est un pays voisin et frère, car notre armée peut être qualifiée d’armée d’occupation s’il n’y a pas une armée ou une administration nigériane à ses côtés. L’armée tchadienne mène seule ses combats à l’intérieur du Nigeria, ce qui est un problème, a poursuivi Déby. Nous aurions souhaité qu’il y ait au moins une unité nigériane avec elle. C’était même une demande expresse auprès du gouvernement nigérian, mais pour des raisons que nous ignorons, jusque-là nous n’avons pas pu travailler ensemble."
... suite de l'article sur Jeune Afrique


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