Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Niger    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Économie
Article




  Sondage


 Autres articles



Comment

Économie

32e session ordinaire du comite interparlementaire de l’UEMOA : le devoir de rendre compte au Premier ministre
Publié le mercredi 18 septembre 2013   |  Sidwaya




 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

La mission d’observation du Comité interparlementaire (CIP) de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) a rendu une visite de courtoisie au Premier ministre, Luc Adolphe Tiao, le mardi 17 septembre 2013. Les membres sont venus rendre compte des travaux du CIP qui se tiennent du 9 au 18 septembre à Ouagadougou.

La 32e session ordinaire du Comité interparlementaire (CIP) de l’UEMOA se déroule dans la ville de Ouagadougou. Débutée le 9 septembre 2013, cette session budgétaire devra prendre fin le 18 du même mois. Et le bureau du CIP, par la voix de leur mission d’observation, a rencontré le mardi 17 septembre 2013, le Premier ministre, Luc Adolphe Tiao. L’objectif de cette rencontre, a expliqué Mélégué Traoré, chef de la mission d’observation, « c’est d’abord, une visite de courtoisie, mais c’est surtout pour rendre compte de cette session au Premier ministre du travail qui a été fait, jusqu’à présent ». Au menu de leurs travaux, a expliqué Mélégué Traoré, « il a été question de la perspective de passage du CIP, organe consultatif, au statut d’institution parlementaire décisionnelle qui sera le parlement de l’UEMOA et qui travaillera en tandem avec la commission ». L’avancée du débat démocratique dans les pays membres de l’UEMOA a aussi été à l’ordre du jour. Mais également, la sortie de crise du Mali, la situation en Guinée-Bissau et le Niger.
Quant au Premier ministre, Luc Adolphe Tiao, le chef de la commission de suivi a fait comprendre qu’il a reçu favorablement le rapport, a encouragé le CIP et a apprécié le travail abattu. Le chef de la mission d’observation, a « rappelé que le gouvernement du Burkina Faso accompagnera bien le passage du CIP de l’institution consultative au parlement de plein exercice ». Puisque, conclut-il, « le CIP est l’un des premiers outils de développement de la démocratie représentative en Afrique de l’Ouest ».


Tasséré SANFO
(Stagiaire)

 Commentaires