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Déclaration sur la situation socio-politque du Niger du Mouvement des Jeunes pour L’Emergence du Niger (MOJEN)
Publié le lundi 25 mai 2015   |  Autre presse


Communiqué
© Autre presse par DR
Communiqué du MOJEN


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La conséquence logique de la gouvernance fasciste et hitlérienne de ce régime, porteur de tous les maux, notre peuple végète dans la misère, la méningite, la faim, l’ignorance et dans une indescriptible insécurité. Comment pourra-t-il alors espérer revenir au pouvoir en 2016 ?
Pour n’avoir pas tenu à ses promesses électorales et avoir abandonné le pays aux pillages des réseaux et clans mafieux, le régime actuel croit s’imposer en 2016 à travers les harcèlements, les menaces et emprisonnements des citoyens ? En effet, dans sa pratique éhontée de recherche de bouc-émissaire et son souci permanent de détourner l’attention de l’opinion nationale et internationale sur sa criminelle gouvernance, le régime poursuit les arrestations d’innocents et d’honnêtes citoyens avec des chefs d’accusation ridicules de sens. Le cas des chefs de villages et de l’un des plus grands défenseurs de droits de l’homme en l’occurrence Monsieur Moussa Tchangari rend compte de la déchéance et de la banqueroute morale du régime actuel. Le ridicule ne tue vraiment pas au Niger.
Personne ne peut croire à Hassoumi Massaoudou qui à travers cette mascarade montée de toutes pièces illusioC nne de noyer l’affaire d’outrage aux magistrats qui l’oppose au SAMAN. La mission assignée à Hassoumi Massaoudou, c’est désormais de cueillir et d’emprisonner les véritables défenseurs de droits de l’homme, les syndicalistes, les journalistes et les hommes politiques capables de dénoncer les abus et violations à répétition des lois en prélude à une organisation électorale en 2016. Sa dernière trouvaille, c’est de leur coller l’étiquette de collaborateurs de boko haram afin de les mettre sous les verrous. Mais qui a alors provoqué le ciblage du Niger par les groupes terroristes dont Boko haram qui opéraient pourtant des années sans s’y intéresser ? Les défenseurs de droits de l’homme ne doivent en aucune manière payer les frais de l’inconséquence et de l’incompétence de ce régime. C’est pour quoi le MOJEN interpelle la communauté internationale afin qu’elle intervienne pour faire arrêter la dérive autoritaire et autocratique du régime des Massaoudou. Disons que tout doit justifier son existence au tribunal de la raison ou alors renoncer à l’existence. Le continuum de violation des textes et lois de la République, la banalisation dédaigneuse des arrêts rendus par la justice, la lise provoquée des partis politiques et associations, les menaces, harcèlements et emprisonnement des citoyens, l’interdiction anticonstitutionnelle des manifestations, l’incarcération ciblée des journalistes, hommes politiques et défenseurs de droits de l’homme, le pompage et le pillage organisés de nos ressources nationales, l’impunité et la corruption généralisée tels sont les quelques éléments constitutifs de la gouvernance de ce régime. Ainsi, le MOJEN :

Exige la libération immédiate de toutes les personnes arrêtées sur la base des faux chefs d’accusation en relation avec cette affaire terroriste de boko haram. Notamment les chefs des villages de la région de Diffa et le défenseur de droits de l’homme Moussa Tchangari.

Exige l’arrêt immédiat de harcèlements et intimidation et enlèvement du camarade Nouhou Mahamadou Arzika durant ce 24H

Soutien sans réserve le SAMAN dans l’affaire l’opposant à Hassoumi Massaoudou qui doit impérativement être remis à la justice pour faits avérés d’outrage aux magistrats dans l’exercice de leur fonction.

Enfin, condamne la violence exercée par un garde Présidentiel sur la journaliste stagiaire de l’ONEP Samira Sabou en date du 21 Mai 2015 et soutient la plainte déposée contre lui auprès du Procureur de la République.

Fait à Niamey le 24 Mai 2015
JE VOUS REMERCIE…

LE PRESIDENT
M. Sirajo Issa

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