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Les Libyens veulent reprendre la main sur leurs investissements en Afrique
Publié le samedi 28 novembre 2015   |  Jeune Afrique




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Malgré le chaos politique et sécuritaire dans leur pays, les dirigeants officiels de la Libyan Investment Authority se démènent pour restructurer et redynamiser les actifs du fonds souverain sur le continent.

C’est le leitmotiv de Hassan Bouhadi depuis quelques mois : reprendre la main sur les nombreux investissements réalisés par le fonds souverain libyen en Afrique durant le règne de Mouammar Kadhafi et qui, depuis la chute de ce dernier, sont en souffrance ou repris par certains États. Nommé en octobre 2014 à la tête de la Libyan Investment Authority (LIA) par le gouvernement de Tobrouk, reconnu par la communauté internationale mais dont le mandat a expiré le 20 octobre dernier, il est contesté par le gouvernement de Tripoli. Actuellement basé à Malte pour des raisons de sécurité, cet ingénieur formé à Londres est, selon son entourage, déterminé et prêt à prendre toutes les mesures nécessaires pour recouvrer les avoirs libyens.

Alors qu’une grande partie de l’ensemble des actifs détenus par la LIA, valorisés à 67 milliards de dollars (62,4 milliards d’euros), sont encore sous sanction, gelés par les Nations unies, les dirigeants du fonds assurent que ceux situés sur le continent sont toujours opérationnels. Les équipes de toutes ses filiales actives en Afrique sont ainsi mobilisées avec pour objectif de « revoir leur approche et de faire en sorte que leurs investissements soient gérés le plus efficacement possible », nous indique-t-on dans l’entourage de Hassan Bouhadi. Alors que la Libye semble plongée dans le chaos politique et sécuritaire, Jeune Afrique fait le point sur ce que deviennent les investissements de son fonds souverain sur le continent, dans quatre secteurs-clés.
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