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Programme Rabiou TARO AMALI – Elections législatives 2016
Publié le mardi 19 janvier 2016   |  ActuNiger




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Qui est Rabiou TARO AMALI

Naissance : 03/08/1986 à Zinder. Père : Officier des FAN. Mère : Infirmière. Naître le jour de la fête d’indépendance de notre pays est pour moi un honneur et un symbole

Etudes primaires : Ecole Canada-Garçons

Collège et lycée : Prytanée militaire de Niamey (1998-2005) ; Obtention du baccalauréat littéraire et philosophique (Série A)

Etudes Universitaires : Université de Strasbourg, titulaire d’un Master II en Sciences Politiques et Sociales. Spécialisation : Politiques publiques/ Développement des pays du Sud.

Parcours politique et associatif :

- Elu au Conseil des études et de la vie universitaire de l’Université de Strasbourg (2006-2008)

- Président de l’association Alsace – Niger (2007-2009)

- Membre fondateur du Cercle de Réflexion sur l’Afrique – CERAFRIQUE (2008)

- Secrétaire National de la Confédération étudiante (2009-2012)

Parcours professionnel :

- Chargé du Développement International – Plateforme pour le Service Citoyen, Bruxelles (Septembre 2015 à aujourd’hui)

- Intervenant extérieur – Université de Strasbourg (2015)

- Consultant Indépendant en Stratégie (2014 – 2015)

- Chargé des Relations Entreprises – Altedia Strasbourg (2012-2014)

Pourquoi je me présente aux élections législatives ?

C’est la première fois dans l’histoire de notre pays que les élections législatives sont étendues aux Nigériens de l’extérieur. Il s’agit bien évidemment d’une très bonne nouvelle pour nous tous car, bien que vivant loin de notre chère patrie, nous gardons une profonde reconnaissance et un amour indéfectible pour elle.

Je pense pouvoir vous représenter valablement à l’Assemblée nationale car, tout comme vous, je pense qu’il est temps que la jeunesse nigérienne parle d’elle-même et dise, à haute voix, ce dont elle a besoin. Il est aussi temps que toute l’énergie de notre diaspora soit mise au service du développement de notre pays. Toutes les intentions de nos aînés, aussi bonnes soient-elles, ne peuvent valoir notre avis propre, en tant que jeunes. Alors parlons et défendons les intérêts de notre pays et de celui de sa jeunesse.

Pour que nous soyons écoutés, nous devons être à l’endroit où les décisions sont prises.

Nous avons enfin la chance de nous faire représenter au parlement. C’est une première. Ne ratons pas cette chance.

Le projet que je vais défendre

- Faire résonner la voix des jeunes au Parlement

70% de la population nigérienne a moins de 30 ans. C’est un record mondial. Pourtant, la moyenne d’âge à l’assemblée nationale tourne autour de 60 ans. Cette situation est anormale et doit changer. Nous devons, ensemble, nous engager à faire de l’Assemblée nationale un endroit où nos préoccupations sont débattues, où les bonnes décisions sont prises, concernant notre avenir. Pour cela, nous devons nous saisir de l’opportunité que représentent ces élections.

Nous devons tous voter pour la liste « La voix des jeunes au Parlement » soutenue par le parti AMEN-AMIN, la seule liste qui représente véritablement les jeunes de la Diaspora nigérienne d’Europe et d’Amérique.

- Intégrer la diaspora dans la vie du Pays

La Diaspora a fait l’objet d’énormes efforts de la part des autorités actuelles. Sa propulsion au rang de neuvième région du pays, les forums organisés en son honneur ainsi que la récente réforme du code de nationalité sont autant d’éléments qui reconnaissent son implication dans la vie socio-économique du pays. Mais si ces efforts sont fort appréciables et louables, ils ne sont pas encore suffisants.

Rappelons quand même que la contribution économique de la Diaspora en Afrique est équivalente, voire supérieure à l’aide publique au développement.Ces chiffres sont sensiblement les mêmes dans notre pays. Cette contribution se chiffre donc à plusieurs centaines de millions d’euros/an. Ce qui est fort important, voire même vital pour la survie de nombreuses famille.

Pourtant, et cela pourrait surprendre, la capacité d’action de la diaspora nigérienne est bien plus étendue que ce qu’elle est aujourd’hui. Nous pourrions, au prix d’un gros travail d’organisation, parvenir à intensifier notre impact sur notre pays. La réflexion doit être approfondie pour trouver les voies et moyens de multiplier les initiatives, non seulement en direction des Nigériens de l’extérieur, mais aussi celles de ces Nigériens en direction de leur pays.

Nous proposons :

La mise en place de Cellules de Veille Citoyennes dans les centres névralgiques d’Europe ou d’ailleurs, afin de recenser de façon régulière les bonnes pratiques et les remonter auprès des décisionnaires politiques. Leur objectif, in fine, étant d’occuper au mieux l’espace de l’innovation sociale pour agir sur le développement local.

La mise en place de partenariats forts et durables avec les institutions universitaires occidentales
La mise en cohérence des associations de Nigériens officiant à l’étranger. Si je suis élu, je travaillerais étroitement avec le Conseil des Nigériens de France (CONIF) pour tisser un lien fort avec le pouvoir législatif. Ainsi, nous pourrions faire avancer plus rapidement les thématiques les plus importantes et surtout, les traduire dans la loi.

La négociation de nouvelles aides dans le cadre de la coopération décentralisée (jumelage, formation, transferts de compétences…)
La création de PME par les Nigériens de l’extérieur et donc, d’emplois au profit de nos frères et sœurs restés au pays
- Connecter la jeunesse nigérienne au monde

Durant ces dix dernières années, j’ai beaucoup travaillé avec diverses organisations de jeunesse en France. Au-delà des acquis en termes de savoir, de savoir-faire et de savoir-être que j’en ai retiré, j’ai aussi et surtout compris le fonctionnement de cet univers, qui me paraît plein de promesses pour la jeunesse nigérienne, si nous en faisons bon usage.

En effet, il existe une pléthore de structures européennes, qui veulent développer des projets avec des pays du Sud, mais qui se détournent de l’Afrique au vu de la complexité des procédures et de l’absence de conditions incitatives. Notre idée, c’est de mettre en place une politique active de mise en réseau de toutes ces structures avec leurs homologues nigériennes. Il s’agit de plaider de façon constante et innovante, de sorte à rendre le Niger attrayant pour ces organisations et ainsi bénéficier de leurs mannes financières et de leur expertise.

Connecter la jeunesse nigérienne au monde passera, à mon avis, nécessairement par deux formes de diplomatie :

- Une diplomatie parlementaire, que je compte bien renforcer à travers les groupes d’amitiés (Niger-France ; Niger-Belgique ; Niger-Allemagne…)

- Une diplomatie citoyenne car, loin des contraintes institutionnelles, les rapports de confiance que nous avons établis avec les entreprises avec lesquelles nous travaillons, ou avons travaillé, peuvent s’avérer de puissants leviers pour apporter savoir et compétences pour nos jeunes. Il s’agira de :

Créer des partenariats avec les agences européennes du volontariat
Mettre en place des projets communs entre de jeunes Européens et Nigériens
Identifier toutes les sources de financements possibles
Récupérer du matériel pour créer des bibliothèques et des médiathèques au Niger
Trouver des structures d’accueil pour former des Nigériens sur des périodes courtes
En tant que député de la Diaspora d’Occident, je me propose, avec le concours de tous, d’être :

- Être un point de rencontre pour toutes les personnes résidant dans les pays de notre circonscription, qui ont besoin d’un nouveau souffle dans la politique de notre pays.

- Être un point d’impulsion d’une nouvelle dynamique qui touchera, par le truchement des réseaux sociaux et de des nouvelles technologies d’information, des personnes réparties aux quatre coins du monde, qui ont envie de transformer notre pays.

Pour ce faire, je m’engage à créer un site internet avec un forum, pour que nous puissions échanger les bonnes idées et les bonnes pratiques.

Je ferai également des tournées régulières avec les associations de Nigériens, afin de recueillir leurs avis et doléances et les porter dans la sphère politique.

N’oubliez pas : Chaque voix compte !

Le dimanche 21 Février 2016, je vote Rabiou TARO AMALI, candidat AMEN-AMIN pour que la voix des jeunes résonne à l’Assemblée nationale.

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