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Le Niger, au 99ème rang dans le classement mondial de Transparency International relatif à l`indice de perception de la corruption : Le président de la HALCIA se réjouit des avancées réalisées par notre pays
Publié le vendredi 29 janvier 2016   |  tamtaminfo


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© Autre presse par DR
Point de presse du président de la Haute Autorité à la Lutte contre la Corruption et Infractions Assimilées (HALCIA)


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Le président de la Haute Autorité de Lutte contre la Corruption et les Infractions Assimilées (HALCIA), M. Issoufou Boureima, a réagi, hier, devant la presse, suite à la publication par Transparency International, du classement 2015 des pays selon l’Indice de perception de la corruption. Le Niger occupe dans cette publication le 99ème rang sur 168 pays, alors qu’il était 103ème en 2014, 106ème en 2013, 113ème en 2012 et 134ème en 2011.
Pour le patron de la lutte contre la corruption au Niger en place depuis 2011, il y a de quoi se réjouir, au vu de l’amélioration progressive du rang de notre pays qui a quitté cette année la position à 3 chiffres dans le classement selon l’indice de perception de la corruption par cette ONG internationale qu’est Transparency. Selon le président de la HALCIA, cela dénote l’impact du combat contre la corruption engagée dans notre pays depuis l’arrivée des autorités de la 7ème République qui en ont fait leur cheval de bataille.
Mieux, le président de la HALCIA s’est montré aussi satisfait du 23ème rang qu’occupe le Niger à l’échelle des 52 pays africains. Selon la note explicative du travail de Tranparency, l’Indice de Perception de la Corruption (IPC) note et classe les pays ou territoires en fonction du degré de corruption perçu dans le secteur public d’un pays. Il s’agit d’un indice composite, une combinaison de sondages et d’évaluations de la corruption collectés par diverses institutions spécialisées.
L’IPC est l’indicateur de la corruption le plus largement utilisé à travers le monde. Le président de la HALCIA s’est donc réjoui de cette évolution positive du rang de notre pays dans ce classement annuel. Il a cependant eu à redire sur certaines données de base entrant en ligne de compte dans le cas de notre pays, et que les organismes de collecte doivent réactualiser.
Il a également fait remarquer que la finalité de la lutte contre la corruption, pour les pays comme pour les Nations Unies, est un combat pour le développement. ”À notre sens, s’il y a corruption, il n’y a pas de développement ; s’il y a corruption, il n’y a pas de réalisations dignes de ce nom”, a-t-il dit.
Aussi, a-t-il fait le lien entre ce constat et la situation du Niger dont le programme de réalisations infrastructurelles publiques de qualité, ces dernières années, en dit long sur la lutte engagée et le recul de la corruption. Il a aussi estimé qu’on peut se réjouir des avancées enregistrées dans la lutte contre la corruption, mais qu’on ne peut pas totalement se satisfaire, car c’est un combat de longue haleine.

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