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Journée contre la peine de mort : Réaction de l’Ambassade de France au Niger
Publié le vendredi 14 octobre 2016   |  Media Niger


Le
© Autre presse par DR
Le Président de la République a reçu mercredi l’Ambassadeur de France au Niger


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À l’occasion de la 14ème Journée mondiale contre la peine de mort, en collaboration avec la délégation de l’Union Européenne, le Centre culturel franco-nigérien Jean Rouch de Niamey (CCFN), le réseau Progrès et développement humain au Niger (REPRODEV-Niger) ainsi que la Coalition nigérienne contre la peine de mort (CONICOPEM), l’ambassade de France au Niger a organisé le 10 octobre une table ronde sur le thème choisi cette année par la Coalition mondiale, à savoir : ‘’Exécuter est l’arme des terroristes - Arrêtons le cycle de la violence’’.

Cette table ronde, qui s’est tenue au sein du grand auditorium du CCFN, a réuni : M. Maman Aminou Amadou Koundy, vice-président du Tribunal de grande instance hors classe de Niamey et juge au pôle judiciaire spécialisé en matière de lutte contre le terrorisme, le Cheik Elh. Oumarou Mahamane Bachir, islamologue, M. Moumouni Alfari, président d’Action chrétienne pour l’abolition et la torture, Mme Amina Balla Kalto, députée, responsable du réseau Bonne gouvernance à l’Assemblée nationale du Niger et M. Idé Oumarou Zazi, chef de la division des Affaires pénales au ministère de la Justice.

La discussion entre les intervenants et avec la salle a permis de mettre en perspective la question de la peine de mort avec celle de la menace terroriste. Les différents intervenants ont finalement conclu que, face au terrorisme, la peine capitale ne constitue pas un outil juridique dissuasif mais, qu’au contraire, elle contribue à l’escalade de la violence.

Le 10 octobre, deux autres conférences ont été données sur le même sujet au sein du réseau culturel franco-nigérien :

■ Au CCFN de Zinder : où plus de 80 personnes se sont réunies pour une conférence autour du secrétaire général du gouvernorat, du président du conseil de ville, du maire de la commune et de plusieurs magistrats de la cour d’appel et du tribunal.

■ À l’Alliance française d’Agadez : ce sont environ 70 personnes qui ont suivi les interventions du président du Tribunal de grande instance, qui était accompagné par des magistrats et des représentants de la société civile.

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