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Début du sommet de l’Union africaine, sur fond de cacophonies et rivalités
Publié le lundi 30 janvier 2017   |  RFI


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© Autre presse par DR
Cette réunion spéciale sur le bassin du lac Tchad, repère du groupe islamiste nigérian Boko Haram se tiendra à l`Assemblée générale des Nations unies


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Le 28e sommet de l’Union africaine s’est ouverte lundi 30 janvier au matin à Addis-Abeba, en Ethiopie, en présence d’une quarantaine de chefs d’Etat et de gouvernement. La communauté africaine est divisée sur de nombreux dossiers. Les débats qui vont durer deux jours, le 30 et le 31 janvier, promettent d’être houleux.

La 28e session de l’Assemblée des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine (UA) s’est ouverte le 30 janvier 2017 à 10 heures (heure locale). Elle se déroulera pendant deux jours, avec la cérémonie de clôture programmée pour le 31 janvier, à 18 heures, où sera annoncée le nom de la capitale qui accueillera le prochain sommet.

Cette première séance, qui est la suite de la réunion en huis clos des leaders dimanche, est fermée aux médias, contrairement à la séance suivante, plus cérémonielle, pendant laquelle l’actuel président de l’Union africaine, le Tchadien Idriss Déby passera la main à son successeur. Le nouveau président de l’UA sera sans doute issu de l’Afrique de l’Ouest, règle de rotation régionale oblige. On cite le nom du Guinéen Alpha Condé. C’est seulement dans le courant de l’après-midi que les chefs d’Etat plancheront sur les dossiers brûlants à l’ordre du jour, commençant par les élections tant attendues du chef de la Commission et de son adjoint, suivie de la désignation des huit commissaires chargés des différentes activités de l’Union africaine. A 10, le président, le vice-président et les commissaires constitueront le véritable gouvernement du continent, mais dont l’exercice du pouvoir est étroitement contrôlé par les 54 chefs d’Etat, peut-être 55 si le Maroc réussit à arracher son réintégration pendant ce sommet.
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