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Chômage des jeunes, économie informelle… Le travail en Afrique face aux défis du futur
Publié le samedi 8 avril 2017   |  Jeune Afrique


YALI
© Autre presse par DR
YALI 2015: Obama reçoit 500 jeunes leaders africains à Washington
03 Août 2015. Le President américain Obama s’exprimait à Washington lors d’un échange avec plus de 500 jeunes africains dans le cadre de la Younf African Leaders Initiative (YALI).


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Plusieurs dizaines de représentants d’employeurs et de salariés ont fait parvenir au Bureau international du travail, qui tient une réunion ces 6 et 7 avril à son siège de Genève, leurs préconisations pour améliorer le futur de l’emploi sur le continent, encore très informel et précaire.

La démographie est implacable. Du fait de la prodigieuse natalité africaine, un travailleur sur cinq en 2050 sera africain. Sur les 600 millions d’emplois qui devront être créés d’ici 2030, une bonne part devra émerger entre Le Cap et le Caire.

C’est dire la place qu’occupe le continent dans la réflexion que mène l’Organisation internationale du travail (OIT) sur l’avenir des emplois depuis deux ans, avec son centenaire de 2019 en ligne de mire.

L’ambition : dépoussiérer une organisation parfois vue comme une machine à rapports éloignée du terrain, « donner la parole à nos mandants [les États qui financent en grande partie l’OIT], et émettre des recommandations ancrées dans la réalité », comme l’explique Nicolas Niemtchinow, ancien ambassadeur français auprès de l’Office des Nations unies à Genève, et conseiller spécial pour l’Initiative sur l’avenir du travail depuis novembre 2015, au sein du secrétariat de l’OIT, son bras exécutif.

Message reçu cinq sur cinq sur le continent. Ils sont nombreux, États, représentants d’employeurs et de salariés, à avoir procédé aux dialogues nationaux auxquels ils avaient été invités voilà presque deux ans par le directeur général du Bureau international du travail (BIT), le syndicaliste britannique Guy Ryder, élu à ces fonctions en 2012.
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