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Industries extractives en Angola et au Niger: encore trop flou selon les ONG
Publié le jeudi 13 avril 2017   |  RFI


Anne-Sophie
© Autre presse par DR
Anne-Sophie Simpère de l`ONG Oxfam


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Les ONG ONE, Oxfam et Sherpa ont relevé des incohérences dans les déclarations de versements effectués par Areva au Niger, et par Total en Angola.

Areva au Niger, Total en Angola... Malgré les efforts de transparence de ces entreprises françaises sur leurs rémunérations aux États où elles ont des gisements, le flou persiste, estiment ONE, Oxfam et Sherpa. Les ONG ont relevé des incohérences qui sèment le doute.

En 2015, Total aurait ainsi versé 100 millions d’euros de plus que ce que l’État angolais dit avoir reçu en nature, c’est-à-dire en pétrole, de l’exploitation de son plus gros gisement, le bloc 17. Mais comment s’y retrouver puisque la loi française n’impose pas de déclarer le nombre de barils qui se cachent sous cette rémunération ? Tous les soupçons sont permis, estime Laetitia Liebert, directrice de Sherpa : que Total ait essayé de diminuer son bénéfice imposable en Angola, ou que l’Angola ait détourné une partie des barils à son profit...

Quant aux versements d’Areva au Niger, les ONG s’étonnent. Le géant français de l’uranium a versé moins d’argent à l’État nigérien en 2015 qu’en 2014 : 15 millions d’euros de moins. Au lendemain pourtant d’une renégociation du contrat, exigée par la société civile nigérienne.
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