Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article





  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles



Comment

Politique

Réaction du ministre d’Etat M. Bazoum Mohamed sur la révision des articles de la constitution et le code électoral
Publié le mardi 30 mai 2017   |  Tamtam Info


M.
© Autre presse par DR
M. Bazoum Mohamed ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération, de l`Intégration Africaine et des Nigériens à l`Extérieur


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

«Ce sont les alinéas 1 et 2 de l’article 47 qui traitent de la durée et du nombre des mandats présidentiels et qui ne sont susceptibles d’aucune modification. Quiconque veut les toucher fait comme Tazarce, il procède à un coup d’Etat, mais nullement à une modification constitutionnelle.», déclare M. Bazoum Mohamed .
Le projet de loi portant révision des articles 47 alinéa 5 ; 48, alinéa 3 et 5 ; 53, aliné 7 ; 59, alinéa 2 ; 85, 99 et 100 de la Constitution défraie la chronique. L’opposition parlementaire accuse le pouvoir dans un point de presse de vouloir s’octroyer un ‘’système électoral à son entière convenance’’. Dans l’entretien qui suit, M. Bazoum Mohamed, ministre d’Etat chargé de l’Intérieur, de la Sécurité publique, de la Décentralisation et des Affaires Coutumières et Religieuses donne la version du gouvernement.

Niger Inter : L’opposition politique reproche au gouvernement de vouloir faire cavalier seul pour modifier des articles de la constitution et que le Conseil National de Dialogue politique (CNDP) serait mis entre parenthèses par le pouvoir pour aboutir à cette fin. Que répondez-vous ?

Mohamed Bazoum : Je réponds qu’il faut bien que l’opposition s’occupe et qu’elle ait quelque chose à dire. A défaut d’avoir de sujets sérieux à traiter elle se contentera de questions de ce genre, sans aucun enjeu et intérêt politiques. Si cette fausse polémique lui donne l’impression qu’elle a une certaine importance ou même qu’elle existe, c’est tant mieux pour elle. Nous sommes en train de réviser des articles de la constitution pour éviter les problèmes auxquelles nous avons été confrontés au cours des élections de l’année 2016. Ainsi nous avons entrepris de réviser l’article 48 de la Constitution dont l’alinéa 3 disposait que le premier tour du scrutin présidentiel a lieu 30 jours au moins, et 40 jours au plus, avant la date d’expiration du mandat du Président de la République. Le nouveau texte propose 90 jours au moins et 120 jours au plus avant la date d’expiration du mandat.
... suite de l'article sur Autre presse


 Commentaires