Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article



 Titrologie



Jeune Afrique N° 2943 du

Voir la Titrologie


  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles



Comment

Société

Le Mali presse l’ONU de soutenir la force anti-jihadistes du Sahel
Publié le samedi 17 juin 2017   |  Jeune Afrique


Deuxième
© aNiamey.com par Mouhamar
Deuxième réunion ministérielle de la plateforme de coordination des Stratégies pour le Sahel
Bamako, le 16 mai 2014 au CICB. La capitale malienne a abrité la deuxième réunion ministérielle de la plateforme de coordination des Stratégies pour le Sahel. L`ouverture des travaux a été présidée par M. Abdoulaye DIOP, Ministre des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de la Coopération Internationale. Photo: M. Abdoulaye DIOP, Ministre malien des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de la Coopération Internationale


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Le ministre malien des affaires étrangères Abdoulaye Diop a pressé vendredi le Conseil de sécurité de l'ONU d'adopter rapidement une résolution soutenant la création d'une force africaine anti-jihadistes dans le Sahel.

Le ministre a exprimé devant le Conseil, au nom des pays du G5 Sahel, « les vives préoccupations du président (malien) Ibrahim Boubacar Keita face aux difficultés rencontrées par le Conseil pour l’adoption » de cette résolution, et il a invité les 15 membres du Conseil à l’adopter « sans tarder ».

Le Mali préside actuellement le G5 Sahel.

L’annonce de cette force G5 Sahel, a-t-il souligné, « a suscité beaucoup d’espoir dans la population » et son adoption « enverra un signal fort et sans équivoque de la communauté internationale aux groupes terroristes et aux trafiquants de tous ordres ».

Le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Tchad et le Burkina Faso, qui composent le G5 Sahel, ont accepté en mars de constituer une force de 5.000 hommes, chargée de cette mission.
... suite de l'article sur Jeune Afrique


 Commentaires