Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Économie
Article





  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles



Comment

Économie

La Brvm sensibilise sur la culture boursière
Publié le mercredi 5 juillet 2017   |  Niger et les 2jours


La
© Autre presse par DR
La BRVM termine l’année 2013 en forte progression


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Dynamiser le marché financier de l’Uemoa et vulgariser la culture boursière au Niger. C’est l’objectif que s’est fixée la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm) en organisant des Journées portes ouvertes ce mardi à Niamey.

Pour Idrissa Magagi, responsable de l’antenne nationale de la Bourse, le but de l’évènement est que « le public découvre la bourse, sache qu’on peut gagner de l’argent en venant acheter des titres à la Brvm. C’est aussi pour dire aux entreprises publiques et privées qu’elles ont les ressources pour financer leur développement. Ces ressources sont sur le marché financier de la Bourse. »

A l’endroit du citoyen lambda, M. Magagi énumère des avantages. « Cela donne une opportunité de placement. Si vous optez pour la tontine, cela ne vous rapporte rien à part l’argent que vous avez déposé. Dans les banques au sein de l’Uemoa, un placement dans un compte épargne vous rapporte autour de 4%, pas plus. Ou encore, si vous optez pour un DAT (compte bloqué), cela vous rapportera environ 6% », explique-t-il. « Aujourd’hui, la Brvm offre l’opportunité aux citoyens de la zone Uemoa de pouvoir s’acheter des actions ou des obligations émises par des entreprises. Les actions peuvent vous donner des plus-values de 20 à 30% l’année. Et heureusement que toutes les entreprises sur le marché sont compétitives », poursuit-il.

Au Niger, seule la Bank of Africa est présente sur le marché boursier de l’Uemoa. Pour le patron de l’antenne nationale de la Brvm, « la venue d’une entreprise en bourse dépend du propriétaire de la Banque. Il y a beaucoup d’entreprises nigériennes du secteur informel également qui remplissent les conditions, mais qui ne sont pas cotées. Et c’est notre devoir de les sensibiliser pour leur faire connaître les avantages d’une entrée en bourse. »

Guevanis DOH

 Commentaires