Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article





  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles



Comment

Société

Affaire du billet de 5.000 franc CFA brûlé : Kemi Séba relaxé par le tribunal
Publié le mardi 29 aout 2017   |  aNiamey.com


L’activiste
© Autre presse par DR
L’activiste Kemi Seba


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Kémi Séba a fait face au juge du Tribunal des flagrants délits du palais de justice de Dakar. Kémi Séba n'a pas été condamné. L'activiste, avec son co-accusé Bentaleb Sow, ont été relaxés par le tribunal. Le juge n'a pas suivi le réquisitoire du parquet qui avait requis une peine de 3 mois de prison avec sursis pour Kémi Séba et une la relaxe pour son co-accusé.

Le BCEAO, parties civiles au procès, avait, quant à elle, réclamé le franc symbolique.

Selon le code pénal sénégalais, Kémi Seba encourait une peine allant de 5 à 10 ans de prison.

La salle d'audience du Palais de justice de Dakar a été prise d'assaut par les souteneurs de l'activiste, polémiste, président de l'Ong "Urgences panafricanistes". D'ailleurs, le juge n'a pas hésité à évacué la salle pour troubles à l'audience du fait des applaudissements des partisans de Kémi Séba.

Devant les juges, le polémiste a regretté son geste et a indiqué que l'acte qu'il avait posé avait, pour lui, une valeur purement symbolique.

Seba et son supposé complice Bentaleb Sow avaient été placés sous mandat de dépôt depuis le vendredi 25 août.

Kémi Séba a été attrait devant la justice suite à une plainte de la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO). Il était accusé d'avoir brûlé un billet de banque de 5.000 francs CFA lors d'un rassemblement à la Place de la Nation, à Dakar, tenue, le samedi 19 août dernier. La rencontre organisée simultanée dans plusieurs capitales africaines visait à dénoncer le franc CFA.

Dernièrement, Kémi Seba a reçu de nombreux soutiens. D'ailleurs, son arrestation a été qualifiée de "politique" par l'écrivain sénégalais Boubacar Boris Diop.

MC

 Commentaires