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BAD: menace sur le caractère africain d’une institution
Publié le lundi 4 septembre 2017   |  Financial Afrik


CIEA
© Agence de Presse Africaine par DR
CIEA 2017: la deuxième édition de la conférence ouverte par le Président Ouattara
Abidjan le 28 Mars 2017. La 2éme édition de la Conférence Internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA) s’est ouverte ce mardi à Abidjan en présence de plusieurs personnalités parmi lesquelles les Chefs d’Etat du Libéria, Hellen Sirleaf, Sénégal, Macky Sall, de la Guinée Alpha Condé de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, Helen Clark, Administrateur du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et Akinwumi Adesina, président de la Banque Africaine de Développement (BAD).


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Au 30 juin 2017, le Nigeria reste toujours le premier actionnaire de la Banque Africaine de Développement (BAD, AfDB) avec 8, 479% des voix, loin des 10% et poussière qu’il avait lors de l’élection d’Akinwumi Adesina en mai 2015. Ce recul est né de la dernière augmentation de capital de l’institution. Les USA viennent en deuxième position avec 6,6% des voix. Viennent ensuite l’Egypte (5,589%) le Japon (5,524), l’Afrique du Sud (5,087) l’Algérie (4,2%), l’Allemagne (4, 185%), le Canada (3,9%), la France (3,799%), la Côte d’Ivoire (3,766%).

Le royaume du Maroc occupe la 11 ème place avec 3,615 % alors qu’il est toujours en tête de peloton en termes d’approbations de prêts et de programmes.

Si la Banque est majoritairement détenue par les 54 pays africains, leur part ne cesse de s’éroder et ne serait plus que de 58,822% contre 41,178% pour les 26 pays membres non régionaux. Cette dégradation remet en cause le principe sacro-saint adopté avant l’ouverture du capital-actions de la BAD le 1er janvier 1983 qui prévoyait que les 2/3 du capital soient détenus par les pays membres régionaux et 1/3 par les actionnaires non-régionaux. Ce ratio a été modifié sous la présidence du marocain Omar Kabbaj à 60/40.
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