Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article





  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles



Comment

Politique

G5 Sahel : à peine lancée, l’« Opération Hawbi » fait déjà face à des « problèmes logistiques »
Publié le jeudi 9 novembre 2017   |  La Tribune


Etat
© AFP par ISSOUF SANOGO
Etat d’urgence dans la région de Diffa
Vendredi 22 mai 2015. Niger. Un véhicule de l`armée nigérienne


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Le lancement de la première opération de la force anti-terroriste du G5 Sahel ce 31 octobre au Mali, au Burkina Faso et au Niger, avait suscité beaucoup d’espoir. Mais c’était sans compter sur la dure réalité du terrain. Les 500 militaires mobilisés dans le cadre de cette opération baptisée « Hawbi » butent en effet sur de sérieux « problèmes logistiques ». Détails.
Des opérations ciblées aux conséquences désastreuses pour l'ennemi... Sur le papier, le plan d'attaque de la première opération de la force conjointe du G5Sahel, lancée ce 31 octobre au Mali, au Burkina Faso et au Niger, semblait facile et efficace. Mais hélas, la réalité est bien différente. Soutenue sur le terrain par la France avec notamment la force Barkhane et ses 4.000 hommes sur-équipés, un gros appui logistique et aérien comprenant des hélicoptères, des avions de chasse, entre autres, l'opération Hawbi ne s'est pourtant pas déroulée comme prévu.

De sérieux problèmes logistiques
Les hommes du G5 Sahel, sous le commandement du lieutenant-colonel français Marc-Antoine, se heurtent en effet à des obstacles. C'est en tous cas, la confidence du colonel-major nigérien Mahamadou Mounkaila, qui commande depuis Niamey la région « Centre » du G5 Sahel.

Le haut gradé de l'armée nigérienne qui s'est confié à la télévision française TV5Monde, parle de « problèmes logistiques » pour la toute première opération de la force conjointe G5 Sahel. Et pour cause, le théâtre des combats est un terrain désertique difficile ajoute le colonel major nigérien avant de nuancer ses propos : « C'est une première mission, nous avons beaucoup de leçons à tirer mais je ne pense pas que ce soit insurmontable ».

Le manque de financement, l'Handicap
Sauf que plusieurs équipements militaires, très pourtant indispensables à ce type interventions armées, ne sont pas encore disponibles. Le poste de commandement du G5 Sahel pour la région « Centre », par exemple, est toujours en construction.

Mais ces lacunes ne semblent pour autant pas inquiéter le colonel burkinabé Saidou Nya, chef d'état-major du fuseau « Centre » qui se félicite lui du déroulé des opérations.
... suite de l'article sur Autre presse


 Commentaires