Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Santé
Article





  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles



Comment

Santé

Santé : Le ministre de la Santé publique ordonne la fermeture de quatre formations sanitaires privées au Niger pour irrégularités
Publié le mercredi 9 mai 2018   |  Niamey et les 2 jours


Illiassou
© Autre presse par DR
Illiassou Idi Mainassara, ministre de la Santé publique


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Quatre formations sanitaires privées ne sont plus autorisées à exercer au Niger. Le ministre de la Santé publique vient en effet d’ordonner leur fermeture pour cause d’irrégularités, a-t-on appris dans un communiqué signé du ministre Idi Illiassou Mainassara (photo) et rendu public ce 8 mai.

« A l'issue d'une mission d'inspection diligentée en mai 2018 par les services compétents du ministère de la Santé publique, il a été constaté l'ouverture et l'exploitation en violation flagrante des dispositions de la loi N°98-Q16 du 15 juin 1998 portant autorisation de l'exercice privé des professions dans le secteur de la santé et ses textes subséquents d'application », a précisé le ministre. Un constat qui justifie les sanctions prises contre ces centres de santé.

Parmi ces formations sanitaires incriminées, l’on retrouve deux cabinets de soins et deux salles de soins, dont trois appartiennent aux agents de l’Etat.

Il s’agit notamment du Cabinet médical Awarke, situé à Zinder, dont le promoteur est le Docteur Daouda Ibrahim Tambari, agent de l'Etat ; du Cabinet Médical de Bornou sis à Diffa, dont la promotrice est le Docteur Youssey Nana Fouré Mamoudou, agent de l'Etat. Egalement citée, la salle d'accouchement du Kawar située à Zinder, appartenant à l’agent de l’Etat Omar Soueba, technicienne supérieure en soins obstétricaux. Et enfin, la salle des soins de la Médecine chinoise et de la pharmacopée chinoise de Maradi, dont le promoteur délivre des soins médicaux, des soins infirmiers et des soins de kinésithérapie sans aucun diplôme ni de médecin, ni d'infirmier, apprend-on.

Déjà en novembre 2017, 14 centres de santé avaient été sanctionnés par le ministre pour non-respect de la réglementation, de la législation et des procédures d'ouverture des établissements sanitaires.

SG

 Commentaires