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Motion de confiance : le zéro et l’infini
Publié le samedi 16 novembre 2013   |  tamtaminfo.com




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C’était l’hypothèse de cette fin de semaine, par le vote de la motion de confiance de la majorité de l’Assemblée Nationale envers le gouvernement. Cependant pour les observateurs de la scène politique, il convient de s’interroger, les rôles désormais à jouer par les parties (pouvoir et opposition).

Opposition : rôles effacés et subsidiaires C’est l’un des grands principes du régime semi présidentiel. L’opposition n’est plus un centre de culture de chrysanthèmes, mais la loi fondamentale lui assigne des objectifs plutôt nobles. Elle aura a :

-contrôler les activités gouvernementales :

Cette fois ci avec plus de rigueur et de ténacité. L’Assemblée aura pour rôle aussi de demander plus de compte à la majorité (dixit thème de l’imputabilité). Si elle parvient à jouer ce rôle de titan l’opposition aura remplit une partie de ses attributions légitimes.

-Elle doit former ses militants en inculquant aux adhérents le devoir civique d’un bon militant de parti politique. Les partis de l’opposition doivent en même temps informer et sensibiliser leur militants de l’attitude de faire play qu’ils doivent toujours observer et prendre du recul pour faire honneur le jour ou leurs partis accéderont au pouvoir.

En définitive dans une perspective de conquête du pouvoir, l’opposition doit s’illustrer dans une attitude responsable et républicaine en privilégiant le respect des lois et règlements. Dans le fond, pourrait-on dire que l’opposition sera effacée en jouant un rôle de second plan ? Non, elle doit par contre suppléer les carences décisions gouvernementales, par exemple en s’inscrivant dans une logique de construction nationale. Par exemple, les ténors de l’opposition doivent multiplier les descentes à l’intérieur du pays pour montrer au nigérien « non niyameen » qu’ils existent et qu’ils comptent sur eux aussi. Majorité : triomphalisme ou sobriété ? « A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ». La majorité des observateurs de la politique interne, savent que le gouvernement était archi-sur de gagner la partie, car, c’est pourvu de cette logique que BRIJI s’est EST jeté à l’eau. La bouée de sauvetage était déjà sue.

Par conséquent, ce qui lui revient et logiquement d’ailleurs, c’est de mettre ce label, de caution nationale pour rendre plus attractif le Niger, en faisant prévaloir le consensus trouvé à la représentation nationale. Le programme de développement social 2014 et 2015 s’est trouvé totalement bouclé et duc réalisé. Alors, trêve de mutisme et à priori, le gouvernement est donc comptable, donc tenu d’une obligation de résultat pour pouvoir encore rencontrer l’assentiment t des électeurs très exigeants car ils lui ont donner 5 minutes pour 5 années (dixit Baba Tandja) Le pouvoir n’a donc aucune excuse, pour la prise en main de ses obligations suivantes :

-La remise des fonctionnaires au travail ;

-Le raffermissement des audits dans toutes les sociétés étatiques, les administrations publiques financières notamment.

-Le suivi de toutes les obligations financières internationales du pays. A l’infini, les tâches du gouvernement sont toutes nombreuses.

Pourrait-il exploiter sa force pour les réaliser ?

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