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Réunion du Comité interministériel de la gestion de la riposte à la pandémie du coronavirus : Situation globalement satisfaisante, même si le virus est toujours en circulation

Le Sahel -  19/6/2020 -  Le Premier ministre, Chef du gouvernement, S.E Brigi Rafini, président du comité interministériel de gestion de la riposte à la pandémie du coronavirus, a présidé, hier matin à Niamey, la réunion hebdomadaire dudit comité. Il s’est agi au cours de cette réunion, pour les ministres membres du comité et ceux du groupe des experts, d’examiner les points suivants : l’état de la mise en œuvre de la réponse sanitaire à la COVID-19, l’état de la mise en œuvre des mesures, la validation des recommandations à proposer au conseil des ministres et enfin la situation financière de la gestion de la COVID-19. Au cours de cette réunion, le ministre de la Santé Publique, Dr Idi Illiassou Mainassara, a présenté la situation de la pandémie dans notre pays à la date du 17 juin 2020. Aussi, selon son exposé, la situation se présente comme suit : au total 5.655 tests à la COVID-19 ont été réalisés dont 1.020 cas positifs, 60 cas en cours de traitement, 893 sortis guéris et 67 décès. S’agissant de la répartition des cas et des décès par région, il ressort de l’exposé du ministre de la Santé Publique que la région d’Agadez a enregistré un cumul de 43 cas dont un (1) décès ; Diffa avec 7 cas et zéro (0) décès ; Dosso (16 cas et zéro décès) ; Maradi (11 cas et trois (3) décès ; Niamey ( 785 cas dont 43 décès ) ; Tahoua ( 19 cas et zéro (0) décès) ; Tillabéry ( 5 cas et zéro décès ) ; Zinder ( 134 cas dont 19 décès ). Quant au confinement, à la date du 17 juin, précise le ministre de la Santé Publique, 427personnes sont confinées sur l’ensemble du territoire national dont 270 à Niamey. L’évolution de la courbe, qui était favorable jusqu’ au 15 juin, a connu une remontée, a relevé Dr Idi Illiassou Mainassara. En effet, notre pays a enregistré ces deux derniers jours des cas importés de COVID-19, dont 36 cas le 16 juin et 2 autres le 17 juin. Il s’agit de compatriotes qui sont de retour au pays, a précisé le ministre de la Santé Publique. «Le R 0 a connu une légère augmentation à cause de ces nouveaux cas enregistrés. Globalement, la situation est satisfaisante, mais le virus est toujours en circulation », a souligné le ministre de la Santé Publique ; c’est ainsi que le Premier ministre a exhorté le comité, surtout la cellule communication, de persévérer dans la sensibilisation au niveau des populations. «Au regard de l’arrivée prochaine de compatriotes ou d’autres nationalités, une réflexion est engagée pour accroitre les capacités de confinement. Mais aussi insister sur l’auto-confinement par exemple pour les organisations qui ont le dispositif, seront autorisées à confiner leurs agents. Pour celles qui n’en ont pas, elles peuvent signer des contrats avec les hôtels pour pouvoir confiner leurs agents», a expliqué le ministre de la Santé Publique. La ministre de la Promotion de la Femme et de la Protection de l’Enfant, Mme Elback Zeinabou Tari Bako, et celui de la Renaissance Culturelle, M. Assoumana Mallam Issa, ont, au cours de leurs interventions, fait une mise à jour de la confection des bavettes par les fournisseurs locaux. Ainsi, sur une prévision de 10 millions de bavettes, il y a un stock de 6. 814 494 bavettes. Ce qui a permis, a informé la ministre de la Promotion de la Femme et de la Protection de l’Enfant, de doter tous les élèves du secondaire et du supérieur des établissements publics de bavettes.

Le coup de gueule du Canard en furie : lorsqu’on ne peut pas, on démissionne pour faire place à ceux qui peuvent

Autre presse -  15/9/2017 -  S’agirait-il d’une farce ou du sérieux ? On penserait volontiers à un poisson d’avril. Sauf que nous ne sommes pas en avril mais en septembre et qu’au regard de la cérémonie solennelle qui a été organisée à l’occasion, il y a bien des raisons de croire qu’il ne s’agit pas d’une farce. C’est du sé- rieux et cela est grave. Très grave même puisque la dé- cision ne vient ni dans un contexte de succès économique ou de gestion orthodoxe qui autorisent une telle option, ni au tournant d’une embellie économique entrevue, mais dans la dèche totale, le développement de la corruption, les détournements de deniers et biens publics, les passe-droits, les trafics en tous genres, bref, dans un contexte d’Etat profondément malade, avec une économie exsangue et des ressources détournées. N’est-ce pas plus de trois milliards qui seraient détournés par l’ancien président du Conseil de ville de Niamey, Assane Saïdou ? L’assurance donnée que l’Etat central sera là pour soutenir les collectivités territoriales n’est qu’un leurre, car l’Etat central-même est en faillite, incapable de faire face à ses charges de souveraineté. Tout est pratiquement en lambeaux. Transférer l’école, déjà mal en point, la santé abandonnée, l’hydraulique et l’environnement si déterminants pour les populations semi-urbaines et rurales aux collectivités, c’est leur refiler la patate chaude. Tout le monde l’aura compris. Incapables de faire face à leurs responsabilités, ils essaient, par des faux-fuyants et des choix suicidaires pour les secteurs vitaux, de se décharger sur d’autres. Transfert de compétences et de…ressources, nous diton ! Ma barbe, de qui veuton se moquer. Pour beaucoup de Nigériens, c’est un coup de grâce porté à ce qui reste de l’Etat. Dans peu de temps, il n’y aura ni Etat ni collectivités et la chienlit sera d’autant plus grande que les communes choisiront, elles aussi, à leur tour, de remercier un grand nombre de personnels dans l’enseignement, la santé, l’hydraulique et l’environnement. Au motif qu’elles ne pourront garder des effectifs qu’elles ne pourraient pas payer, les collectivités vont donc remercier des milliers d’autres travailleurs dans les quatre secteurs retenus. Ce n’est pas un hasard si ce prétendu transfert de compétences et de ressources intervient au lendemain de la publication des résultats de l’évaluation des enseignants contractuels. Un maire va-t-il maintenir des effectifs d’enseignants ou d’agents d’environnement qu’il ne pourrait payer ? Le chômage et le désespoir des classes sociales les plus exposées vont rapidement prendre des proportions inquiétantes. Connaissant la politisation à outrance de l’administration nigé- rienne sous Mahamadou Issoufou, la perspective est redoutable puisqu’elle ouvrira nécessairement la voie à des règlements de comptes divers. Est-il si difficile de dire « Je ne peux pas, je démissionne » ? Mahamadou Issoufou est sans aucun doute à bout de souffle. Or, lorsqu’on ne peut pas, on démissionne pour faire place à ceux qui peuvent.

Le coup de gueule du Canard en furie : lorsqu’on ne peut pas, on démissionne pour faire place à ceux qui peuvent

Autre presse -  15/9/2017 -  S’agirait-il d’une farce ou du sérieux ? On penserait volontiers à un poisson d’avril. Sauf que nous ne sommes pas en avril mais en septembre et qu’au regard de la cérémonie solennelle qui a été organisée à l’occasion, il y a bien des raisons de croire qu’il ne s’agit pas d’une farce. C’est du sé- rieux et cela est grave. Très grave même puisque la dé- cision ne vient ni dans un contexte de succès économique ou de gestion orthodoxe qui autorisent une telle option, ni au tournant d’une embellie économique entrevue, mais dans la dèche totale, le développement de la corruption, les détournements de deniers et biens publics, les passe-droits, les trafics en tous genres, bref, dans un contexte d’Etat profondément malade, avec une économie exsangue et des ressources détournées. N’est-ce pas plus de trois milliards qui seraient détournés par l’ancien président du Conseil de ville de Niamey, Assane Saïdou ? L’assurance donnée que l’Etat central sera là pour soutenir les collectivités territoriales n’est qu’un leurre, car l’Etat central-même est en faillite, incapable de faire face à ses charges de souveraineté. Tout est pratiquement en lambeaux. Transférer l’école, déjà mal en point, la santé abandonnée, l’hydraulique et l’environnement si déterminants pour les populations semi-urbaines et rurales aux collectivités, c’est leur refiler la patate chaude. Tout le monde l’aura compris. Incapables de faire face à leurs responsabilités, ils essaient, par des faux-fuyants et des choix suicidaires pour les secteurs vitaux, de se décharger sur d’autres. Transfert de compétences et de…ressources, nous diton ! Ma barbe, de qui veuton se moquer. Pour beaucoup de Nigériens, c’est un coup de grâce porté à ce qui reste de l’Etat. Dans peu de temps, il n’y aura ni Etat ni collectivités et la chienlit sera d’autant plus grande que les communes choisiront, elles aussi, à leur tour, de remercier un grand nombre de personnels dans l’enseignement, la santé, l’hydraulique et l’environnement. Au motif qu’elles ne pourront garder des effectifs qu’elles ne pourraient pas payer, les collectivités vont donc remercier des milliers d’autres travailleurs dans les quatre secteurs retenus. Ce n’est pas un hasard si ce prétendu transfert de compétences et de ressources intervient au lendemain de la publication des résultats de l’évaluation des enseignants contractuels. Un maire va-t-il maintenir des effectifs d’enseignants ou d’agents d’environnement qu’il ne pourrait payer ? Le chômage et le désespoir des classes sociales les plus exposées vont rapidement prendre des proportions inquiétantes. Connaissant la politisation à outrance de l’administration nigé- rienne sous Mahamadou Issoufou, la perspective est redoutable puisqu’elle ouvrira nécessairement la voie à des règlements de comptes divers. Est-il si difficile de dire « Je ne peux pas, je démissionne » ? Mahamadou Issoufou est sans aucun doute à bout de souffle. Or, lorsqu’on ne peut pas, on démissionne pour faire place à ceux qui peuvent.

La présidente libérienne déclare l’état d’urgence en raison de l’épidémie d’Ebola

Xinhua -  7/8/2014 -  MONROVIA -- La présidente libérienne Ellen Johnson Sirleaf a déclaré mercredi soir l'état d'urgence dans le pays d'Afrique de l'Ouest en raison de l'épidémie d'Ebola. La présidente a fait cette annonce à la télévision nationale en précisant que l'état d'urgence durerait 90 jours. "L'ignorance et la pauvreté ainsi que les pratiques religieuses et culturelles enracinées continuent d'accélérer la propagation de la maladie", a-t-elle déclaré. L'épidémie, qui a tué au moins 282 personnes rien qu'au Liberia, se transmet par contact avec les liquides biologiques des personnes infectées. L'épidémie d'Ebola, jusqu'ici la plus grave de l'histoire de cette maladie apparue il y a près de 40 ans, a tué 932 personnes et en a affecté 1711 autres cette année dans quatre pays de l'Afrique de l'Ouest, à savoir la Guinée, le Liberia, le Nigeria et la Sierra Leone, selon l'Organisation mondiale de la Santé.

Une centaine de militaires américains déployés au Niger

Autre presse -  25/2/2013 -  Le président américain Barack Obama a déclaré le vendredi 22 février 2013 que son pays a déployé près de 100 militaires Niger, pays du sahel menacé par le terrorisme à l’instar du Mali.