Le 21 février, lors du second tour de la présidentielle, le Niger choisira le successeur de Mahamadou Issoufou, entre Mohamed Bazoum et Mahamane Ousmane. Quel que soit le vainqueur, les défis seront nombreux, de l’éducation à la sécurité, en passant par la lutte contre la corruption.
À Niamey, une chose est certaine : à la fin de février 2021, Mahamadou Issoufou ne sera plus le président du pays. Au pouvoir depuis 2011, réélu en 2016, il a en effet respecté sa promesse de ne pas transgresser la Constitution, qui limite à deux le nombre de mandats présidentiels.... suite de l'article sur Jeune Afrique