Les autorités nigériennes ont décrété un deuil national de trois jours à compter de ce mercredi 17 mars, deux jours après la mort de plus de cinquante civils dans des attaques jihadistes dans la zone des « trois frontières », près du Mali et du Burkina Faso.
Le Niger a de nouveau été la cible d’attaques de jihadistes présumés, lundi 15 mars, qui ont fait 58 morts dans l’Ouest du pays, près du Mali. Ce sont les premières violences depuis l’élection du président Mohamed Bazoum le 21 février.... suite de l'article sur Jeune Afrique