La Commission nationale des droits humains a rendu public un rapport en ce sens vendredi 2 avril. Les autorités tchadiennes ont réagi : elles reconnaissent les faits et promettent des sanctions. Elles appellent cependant à ne pas généraliser pour ne pas ternir l’image de l’armée tchadienne.
Les faits se sont produits au cours du mois de mars dans la région de Tillabéri dans l’ouest du Niger, dans le département de Tera. La CNDH dit avoir suffisamment de preuves après avoir rencontré les autorités administratives et judiciaires, les témoins et les victimes présumées. Les soldats tchadiens sont accusés par plusieurs jeunes femmes. La CNDH se fonde également sur les résultats d’expertises médicales. Hamidou Talibi Moussa, rapporteur général et porte-parole de la CNDH, revient sur cette affaire au micro de RFI :... suite de l'article sur RFI