Le groupe État islamique revendique dans un communiqué l’attaque qui a visé, dans la nuit du 11 au 12 juin, le domicile du président de l’Assemblée nationale. Une attaque de petite ampleur : deux hommes à motos avaient tiré sur les gardes situés devant le bâtiment, avant de tenter sans succès de voler un véhicule en prenant la fuite. Mais une attaque meurtrière - l’un des gardes avait été tué -, la première pour le groupe État islamique dans la capitale nigérienne.
Démonstration de force inquiétante ? Ou revendication opportuniste, après les pertes subies, ces derniers jours, par le groupe État islamique au Grand Sahara sur le terrain ? Aly Tounkara, directeur du CE3S, le Centre des études sécuritaires et stratégiques au Sahel, décrypte cet événement au micro de David Baché.«... suite de l'article sur RFI