Selon des sources dignes de foi, après plusieurs tentatives pour un rapprochement et face au refus catégorique des responsables du groupe de presse Bonférèye de piétiner l’éthique et la déontologie de la profession du journaliste, des esprits malins auraient décidé de procéder à la mise au pas de ce groupe de presse à travers, ce que les fiscalistes appellent : le redressement fiscal.
En effet, selon nos sources, face au refus du groupe d’adhérer à la théorie de la pensée unique, les services des impôts sur injonctions on ne sait de qui, auraient voulu chercher ‘’ le pou sur un crane rasé’’ du promoteur dudit groupe de presse. Du reste, selon nos informations, les services des impôts auraient été instruits pour un redressement fiscal contre une société dont l’héritier promoteur du groupe de presse Bonférèye a aussi la responsabilité. Si cette information s’avère, la démarche des initiateurs de cette entreprise, peut être jugée comme une manière de faire obstruction, entrave à la liberté de pensée et d’opinion dans ce groupe de presse. Toute chose qui est contraire aux principes démocratiques sur la base desquels, le Président Issoufou Mahamadou a accédé au pouvoir d’Etat.
Aux journalistes de Bonférèye, de continuer dans leur lancée de traitement équitable de l’information et, du respect des fondamentaux de la profession dont- ils ont jusque- là fait montre. En tout cas, les Nigériens sincères sont satisfaits du travail professionnel et bien fait des journalistes du Groupe Bonférèye. A eux donc de savoir garder le cap et s’armer de courage et davantage de professionnalisme pour faire barrage à la pensée unique.