Les jeunes de moins de 25 ans représentent 70% de la population du Niger, et sont, de fait l’avenir du pays. Un avenir confronté à une faible scolarisation, à un chômage endémique et de plus en plus perméable aux discours obscurantistes des extrémistes islamistes qui ensanglantent le Sahel depuis plus d’une dizaine d’années. Une préoccupation majeure pour les pouvoirs publics qui s’interrogent sur les politiques à adopter pour éviter d’en faire des bombes sociales.
Les nations, les institutions rivalisent d’ingéniosité pour élaborer des stratégies pour éviter que la jeunesse ne bascule dans la violence et le radicalisme. Mais si on arrêtait de considérer les jeunes comme un problème à résoudre ? Si on les traitait comme partie de la solution ? Si, pour une fois, on écoutait leurs aspirations, leurs propositions ?... suite de l'article sur RFI