Le festival « Waka ta » a pris fin samedi dernier par un géant concert avec sur scène des artistes locaux et étrangers. Voici les grands moments de ce festival.
Le festival « Waka ta » (ma musique en haoussa) a pris fin samedi dernier dans une ambiance électrique.
Démarrée le 13 décembre, cette deuxième édition du festival veut résoudre certains défis auxquels sont confrontés les acteurs du domaine de la musique au Niger qui sont : des formations insuffisantes, le manque d’exportation des œuvres Nigériennes à l’international, l’absence de collaborations avec l’extérieur dans l’idée d’acquérir des connaissances et expériences et l’insuffisance dans la création et la conception musicale.
Après les séances de formation et de réseautage, l’artiste Marie Diallo, lauréate de l’année 2020 du Tremplin des jeunes talents du Niger a restitué jeudi dernier sa résidence de création musicale. L’artiste qui devait faire sa résidence en France depuis l’année passée mais bloquée en raison de la Covid-19, a profité de la venue du groupe « Altesse ego » de la France à ce festival pour améliorer sa performance musicale.
Jeudi soir donc, l’artiste a chauffé le petit théâtre en plein air soutenu par les ténors du groupe français qui assuraient la guitare, le piano. Marie Diallo a parcouru son répertoire musical tout en l’alternant avec des pas de danse originaux qui haranguait le public.
D’autres artistes féminins de la musique urbaine au Niger comme Chocola T, Nourrath, etc, n’ont pas hésité à la rejoindre sur scène.
« Le groupe Altesse ego de la France m’a accompagné ces derniers jours de résidence et là nous venons de faire la restitution. Ils m’ont apporté beaucoup d’expérience, plus tu bosses avec de nouvelles personnes, plus tu apprends des choses et je suis très ravie de cette résidence, » a confié Marie Diallo à agendaniamey.com.... suite de l'article sur Autre presse
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