Après plusieurs jours de suspense, le président de la Confédération africaine de football (CAF), Patrice Motsepe, a annoncé, mardi 21 décembre, que la Coupe d'Afrique des nations de football (CAN) aurait bien lieu au Cameroun à partir du 9 janvier. L'annonce, à l'issue d'une audience avec le président du Cameroun Paul Biya à Yaoundé, a été très bien accueillie dans toute l'Afrique.
Les pressions venant notamment d’Europe n’ont pas eu raison de la détermination des Camerounais et Africains en général pour accueillir la Coupe d'Afrique des nations (CAN), et ce, malgré la menace de plus en plus forte du variant Omicron. En moins de 48 heures, ce qui s’annonçait comme une nouvelle déconvenue pour le pays des Lions indomptables, déjà écartés de l’organisation de la compétition en 2019, puis contraints de reporter la compétition d’une année, a donc été évitée.
Un psychodrame dont les principaux vainqueurs sont forcément les autorités camerounaises, la Confédération africaine de football (CAF) évidemment, mais aussi Samuel Eto'o, le nouveau président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), dont la prise de parole mardi avait été très remarquée.... suite de l'article sur RFI