L'insécurité dans cette région de l'ouest du pays a conduit à ses fermetures, selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nation unies (Ocha). Selon les derniers chiffres publiés, le phénomène a touché près de 580 écoles, soit 24% des établissements scolaires de la région, et plus de 53 000 enfants ont ainsi été privés de continuité pédagogique, à cause des activités liées aux groupes armés.
Menaces directes sur les écoles, sur les enseignants et importants déplacements de population sont les facteurs qui expliquent les fermetures d'écoles, dans le Tillabéri, selon Ocha qui précise que sur les treize départements que compte la région, huit sont directement concernés. Un phénomène qui a bien sûr des conséquences sur la scolarisation des enfants.... suite de l'article sur RFI