Le Mali et le Burkina Faso sanctionnés par la Cedeao, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest. L’Ambassadeur de France au Mali expulsé. Le rapatriement des soldats danois, faute d’accord avec les autorités de Bamako en pleine brouille avec les européens. L’envoi du contingent norvégien au sein de la force Takuba annulé. Comment s’organise la lutte contre le terrorisme dans ce nouveau climat de tension entre les alliés ? Doit-on craindre une montée en puissance des jihadistes ?
Les soldats maliens et burkinabé sont-ils capables de faire face tout seuls à la menace terroriste ? Comment Paris, qui affirme vouloir continuer de lutter contre le terrorisme dans le Sahel, compte-t-elle s’organiser ?... suite de l'article sur RFI