Une équipe de la communauté ouest-africaine et des Nations unies était à Conakry dimanche et lundi pour rencontrer société civile, politiques et putschistes au pouvoir. Hier jeudi 3 mars, la Cédéao a voulu faire comprendre, non sans fermeté, qu’il était temps que la transition avance.
Quasiment six mois jour pour jour après le coup d’État, la Cédéao met en garde la junte au pouvoir.
Les représentants ouest-africains rappellent que le 16 septembre à Accra, la conférence des chefs d’États et de gouvernement avait décidé que des élections présidentielle et législatives se tiendraient dans les six mois, pour restaurer l’ordre constitutionnel. Or les six mois sont quasi passés. La Cédéao note donc « le non respect » du délai.... suite de l'article sur RFI