Le 23 novembre 2021, un convoi de la force française Barkhane, à destination de Gao au Mali, avait été pris à partie par des manifestants à Tera, dans le sud-ouest du Niger. Lors de ce blocage, trois jeunes ont été tués et 17 autres blessés. Cette semaine, les autorités nigériennes ont annoncé que l’enquête menée par leur gendarmerie et l’armée française n’a pas pu déterminer le déroulement exact des événements et donc les responsabilités de chacun. Ainsi les deux parties indemniseront les victimes et leurs familles. Une solution inacceptable pour Moussa Tchangary, secrétaire général d’Alternative espace citoyen.... suite de l'article sur RFI