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Journée Internationale pour l’Elimination de la Fistule (JIF) : 625 cas enregistrés au Niger en 2021

Publié le lundi 23 mai 2022  |  Agence Nigerienne de Presse
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© Autre presse par DR
Le Ministre de la Santé Publique, Dr Idi Illiassou Mainassara
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Niamey - La communauté Internationale célèbre ce jour, lundi 23 Mai 2022, la journée Internationale pour l’Elimination de la Fistule (JIF) sous le thème « Mettre fin à la fistule maintenant, investir dans les soins de qualité et responsabiliser les communautés».

A cette occasion, le ministre de la santé Publique et des affaires sociales, Dr Niamey, 23 Mai (ANP)- La communauté Internationale célèbre ce jour, lundi 23 Mai 2022, la journée Internationale pour l’Elimination de la Fistule (JIF) sous le thème « Mettre fin à la fistule maintenant, investir dans les soins de qualité et responsabiliser les communautés».

A cette occasion, le ministre de la santé Publique et des affaires sociales, Dr Idi Illiassou Mainassara a appelé à une mobilisation conséquence des ressources pour un Niger sans fistule.

Cette journée constitue une opportunité pour faire comprendre au grand public qu’il y’a encore beaucoup des femmes et des filles qui souffrent de cette maladie et de mobiliser davantage les énergies pour le renforcement de la lutte contre ce fléau social.

Au Niger pour assurer une prise en charge adéquate de la maladie, le gouvernement a créé un centre national de référence de fistules obstétricales à Niamey et décentralisé sa prise en charge médico-chirurgicale dans les 7 centres de santé mère-enfant du pays.

‘’En 2021, ce sont 625 cas qui ont été répertoriés dans nos centres de prise en charge repartis dans les 8 régions du Niger’’ a rappelé le Ministre de la santé, Dr Idi Illiassou Mainassara pour qui ‘’la fistule génitale féminine, dont la forme la plus fréquente est la fistule obstétricale, survient à la suite d’un accouchement long et difficile en l’absence d’un personnel de santé qualifié et de soins obstétricaux d’urgence comme la césarienne’’.

La maladie se caractérise, en effet, par la perte permanente des urines et/ou des selles chez la femme ou la jeune fille et souvent une atteinte à la santé mentale du fait de la stigmatisation, de l’isolement, du rejet familial et de la communauté.

C’est pourquoi, selon Dr Idi Illiassou Mainassara, le gouvernement va élaborer, cette année, une nouvelle stratégie multisectorielle, puisque la première est arrivée à terme depuis 2020, qui s’inscrit dans le cadre des objectifs de développement durable des Nations Unies et de la résolution de la 19ème session ordinaire de l’Assemblée des Ministres de la santé de la CEDEAO de juin 2018 sur l’élimination de la fistule.

Il a, enfin, réaffirmé l’engagement des autorités nigériennes à poursuivre les investissements dans le secteur du développement du capital humain et pour soutenir toutes les initiatives de promotion de la santé de la reproduction.

HA/AS/ANP 0159 mai 2022

Illiassou Mainassara a appelé à une mobilisation conséquence des ressources pour un Niger sans fistule.

Cette journée constitue une opportunité pour faire comprendre au grand public qu’il y’a encore beaucoup des femmes et des filles qui souffrent de cette maladie et de mobiliser davantage les énergies pour le renforcement de la lutte contre ce fléau social.

Au Niger pour assurer une prise en charge adéquate de la maladie, le gouvernement a créé un centre national de référence de fistules obstétricales à Niamey et décentralisé sa prise en charge médico-chirurgicale dans les 7 centres de santé mère-enfant du pays.

‘’En 2021, ce sont 625 cas qui ont été répertoriés dans nos centres de prise en charge repartis dans les 8 régions du Niger’’ a rappelé le Ministre de la santé, Dr Idi Illiassou Mainassara pour qui ‘’la fistule génitale féminine, dont la forme la plus fréquente est la fistule obstétricale, survient à la suite d’un accouchement long et difficile en l’absence d’un personnel de santé qualifié et de soins obstétricaux d’urgence comme la césarienne’’.

La maladie se caractérise, en effet, par la perte permanente des urines et/ou des selles chez la femme ou la jeune fille et souvent une atteinte à la santé mentale du fait de la stigmatisation, de l’isolement, du rejet familial et de la communauté.

C’est pourquoi, selon Dr Idi Illiassou Mainassara, le gouvernement va élaborer, cette année, une nouvelle stratégie multisectorielle, puisque la première est arrivée à terme depuis 2020, qui s’inscrit dans le cadre des objectifs de développement durable des Nations Unies et de la résolution de la 19ème session ordinaire de l’Assemblée des Ministres de la santé de la CEDEAO de juin 2018 sur l’élimination de la fistule.

Il a, enfin, réaffirmé l’engagement des autorités nigériennes à poursuivre les investissements dans le secteur du développement du capital humain et pour soutenir toutes les initiatives de promotion de la santé de la reproduction.

HA/AS/ANP 0159 mai 2022
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