« C’est surréaliste d’être ici. » Avec son film « Tsutsue », Amartei Armar, 31 ans, était lors de cette 75e édition le premier réalisateur ghanéen en lice pour la Palme d’or des courts métrages dans l’histoire du Festival de Cannes. Entretien avec celui pour qui « la beauté du cinéma, c’est de réunir les gens ».... suite de l'article sur RFI