Constituant 28% de toutes les maladies dans le pays et 50% de tous les décès enregistrés, le paludisme est une maladie endémique au Niger.
En effet plusieurs facteurs accentuent la propagation et la persistance de cette maladie notamment les distances et les conditions routières, le manque de moyens financiers de la plupart des ménages.
Cependant, pour lutter efficacement contre cette maladie, les autorités nigériennes en charge de la santé s’emploient jours et nuits pour amoindrir les dégâts causés par la malaria en témoignent les multiples visites effectuées par le ministre de la santé publique et des affaires sociales, Dr Illiassou Idi Mainassara, dans les centres de santé intégrés aux fins fond des quatres coins du pays. A cette occasion, le ministre a tenu à préciser la nature et les conditions de cette gratuité à travers un discours limpide. Il s’agit surtout des soins qui sont gratuits tandis que la participation communautaire qui ne dépasse guerre les 1000F CFA demeure d’actualité à l’image des centres de santé dans le monde entier. Inutile de faire l’amalgame en ces points dont l’un ne supprime pas l’autre.
Pour ce qui est des médicaments, ils sont déjà mis à la disposition des formations sanitaires et ils doivent être donnés gratuitement aux personnes qui souffrent de cette maladie quelque soit leur âge rajoute ce communiqué.
Cet acte salutaire, louable, témoigne l’engagement des autorités de la 7eme République à répondre efficacement aux aspirations du peuple tel qu’il a été promis par Son Excellence Monsieur Mohamed Bazoum, Président de la République, lors de son investiture le 02 avril 2021.
Par ailleurs, il faut rappeler si besoin est, que les populations peuvent compter sur les autorités actuelles quant à la recherche des solutions idoines pouvant conduire à leur épanouissement.