Le président Mohamed Bazoum veut encourager la réinstallation de 40 000 personnes dans leurs villages d’origine. Mais les destructions et l’insécurité compliquent ce projet.
Partant de Diffa, de part et d’autre de la route nationale qui prend la tangente sur les bords géologiques du bassin du lac Tchad, s’enchaînent des villages fantômes. Les premiers orages de l’année continuent de mettre à bas les pans de mur restants. Çà et là, sur le sol, des stigmates noircis de cases incendiées par Boko Haram quand le groupe djihadiste était à son apogée.
Sept ans après la première attaque contre la ville nigérienne de Diffa et ses environs, une nouvelle ère, plus prometteuse, va-t-elle commencer au milieu de cette désolation ? Mohamed Bazoum, le président du Niger, le croit.... suite de l'article sur LeMonde.fr