La société Hygiène et salubrité du Cameroun (Hysacam) a cessé ses prestations dans ces deux villes africaines depuis 2012 en raison d’arriérés de paiement, non soldées jusqu’à ce jour malgré des promesses non tenues d’apurement de cette dette de part et d’autre.
L’expertise de la société Hygiène et Salubrité du Cameroun (Hysacam) est sollicitée dans plusieurs capitales africaines. L’année dernière, l’entreprise a même prospecté à Kinshasa en République Démocratique du Congo, à Libreville au Gabon et à Bangui en République Centrafricaine, à l’invitation des autorités municipales de ces villes respectives, dans la perspective d’envisager un partenariat pour assurer le service de propreté dans lesdites villes. Une aubaine pourrait-on conclure, pour une entreprise qui travaille activement ces dernières années à une externalisation de ses activités. Mais Hysacam n’entend pas s’y engager si elle n’obtient pas des garanties de financement fiables. Le Directeur de la communication de cette entreprise, Ahmadou Garba, le martèle fort à propos d’ailleurs. « Nous sommes allés au Gabon, en Centrafrique et en RD Congo. Nous avons été saisis par les autorités de ces pays, avec lesquelles nous sommes en négociations. Mais le préalable, c’est de garantir le financement qui est la condition de l’activité ».... suite de l'article sur Autre presse