Avec le retrait définitif de l’opération Barkhane du Mali, le Niger devient le nouvel épicentre de la réarticulation militaire française, dans la lutte contre le terrorisme au Sahel et dans le golfe de Guinée.
Le Président nigérien, Mohamed Bazoum a reçu, mardi, le nouveau commandant de la force française Barkhane, le Général Bruno Baratz à Niamey.
Ce dernier, qui a pris le commandement de l’opération française, a remercié [1] le chef d’État nigérien « pour l’appui que fournit l’État du Niger à la France dans le cadre de la réarticulation du dispositif de Barkhane ».
Avec le retrait définitif de l’opération Barkhane du Mali, le Niger devient la nouvelle tour de contrôle de la présence militaire française, dans la lutte contre le terrorisme au Sahel et dans le golfe de Guinée.
L’Agence Anadolu (AA) a interrogé Seidik Abba, journaliste et universitaire nigérien, spécialiste du Sahel et auteur du livre « MALI – SAHEL – Notre Afghanistan à nous ? » [2], pour tenter d’élucider les facteurs ayant mené à l’échec de l’opération antiterroriste, notamment au Mali, puis de comprendre sa nouvelle articulation dans la sous-région et sa doctrine sous-jacente.... suite de l'article sur Autre presse