La plupart des observateurs sont d’avis que le Président Mohamed BAZOUM , pour pouvoir engranger des Résultats palpables , et impactants , est placé dans la nécessité d’AVANCER dans la réalisation des Infrastructures essentielles.
La dialectique Consolider et Avancer, doit être repensée pour privilégier la dimension Avancer. La Consolidation étant une action quasi-constante, qui concerne les acquis infrastructures.
Il est plus approprié de mettre dorénavant l’action sur la dimension ‘’Avancer’’ : avancer dans la réalisation d’infrastructures nouvelles, qui seront emblématiques de la réussite des priorités retenues dans le Programme politique du Président de la République.
Il parait important de rappeler qu’en plus des besoins de gestion de la question sécuritaire, les priorités du Programme présidentielle sont les secteurs de l’Education (du primaire à l’université), de l’agro-industrie( avec comme pendant la création d’emplois urbains et ruraux), l’Habitat social etc.
Si au niveau de l’éducation de base , les Infrastructures comme les Internats de Jeunes filles, les classes en matériaux définitifs, il y a des débuts d’exécution, en ce qui concerne les Universités, aucun programme structurant durale n’a encore vu le Jour.
Les adaptations conjoncturelles avec des Amphithéâtres sous formes de chapiteaux , semblent rencontrer des difficultés de maintenance. Du reste elles sont provisoires.
Concernent la création et l’employabilité notamment des Jeunes, un Programme de Pôles agro-industriels par Région est en en vue.
D’importantes opportunités existent dans le domaine de l’Habitat social, pour lesquelles des Investisseurs pourraient être invités à se manifester , avec une politique de marketing et de Loing efficace.
Tout n’est pas d’avoir des Ambitions des Programmes bien pensés, il faut pouvoir les transformer en réalisations concrètes, dans un contexte de contrainte budgétaire aigué pour l’Etat, de crises multiformes exogènes qui peuvent décourager les Investisseurs.
L’arme la plus redoutable pour faire face à ce type de challenge, est la capacité d’attirer des Investisseurs extérieurs ( ayant les capitaux et l’expertise technique pour réaliser de grands Projets infrastructurels). Le Bargainig power des Entités publiques notamment de l’ANPIPS ( Agence Nigérienne de Promotion des Investissements et des Projets stratégiques ).
Sur ce chapitre ile est édifiant de rappeler la gestion d’un Dossier encours qui est illustratif de ce que nous soulignions comme condition de captation de Groupes d’Investisseurs, et de succès.
Il s’agit de la manifestation d’Intérêt d’un Groupe malien du BTP, IBI Group SA, qui a fait l’objet d’attaquée de critique , et surtout d’insinuations malencontreuse visant à distendre la relation entre deux pays frères, le Niger et le Mali.
Ce qu’il faut souligner avec force que l’Investisseur IBI Group dont il est question, non seulement vient avec son Expertise technique, mais également et surtout avec des moyens financiers pour réaliser le projet infrastructurel qu’i a ciblé.
Donc quelle logique peut expliquer que son arrivée au Niger de façon volontaire, surtout que cela est motivée plus qu’il ne l’a fait dans d’autres pays, d’accompagner le Programme présidentiel, quelle Logique donc , pourrait expliquer que c’est pour obtenir des financements, et déstabiliser le Mali.
Les objectifs politiques d’une telle tentative de manipulation des Opinions Publiques sont évidents. Leur finalité première étant de décourager les Initiatives qui se dessinent pour soutenir le Programme Présidentiel, de le booster et de produire des Réalisations concrètes bénéfiques aux populations nigériennes , en l’occurrence aux Etudiants nigériens.
Imaginer un tant soit la qualité de vie de travail , de recherches et d’accueil pour les Etudiants , que les Projets d’universités très modernes pourraient offrir, une fois réalisés.
La volonté politique de tenter de gêner la Décision , est également toute évidente, lorsque certaines Opinions ont essayé de démontrer que les marchés n’ont pas été attribués dans les Règles de l’Art.
Avant de déconstruire un argumentaire si simpliste, il faut faire remarquer que le Président Issoufou Mahamadou, a entendu siffler les mêmes sirènes, mais il a préféré boucher les Oreilles , pour moderniser l’Aéroport international Diori Hamani ; le Centre de Conférences Mahamat Gandi, les Hôtels 4 Etoiles Radisson Blue et Noo.
Concernant les arguties juridiques, les opposants à l’accélération de la réalisation des infrastructures universitaires , ont oublié les Accords et autres traités de la ZLECAF, de l’UEMOA, et surtout les dispositions d’encadrement des Investissements prévues par la Loi sur les Partenariats Publiques.
Rien n’empêche à un Investisseur Etranger de surcroit africain, qui est en capacité Technique et financière , d’avoir des ambitions d’investissement concernant le Niger.
Les Chinois, les Turcs, les Européens et autres Groupes extra Africains ne sont-ils pas légions dans les affaires de notre pays, avec parfois une opacité dans leurs Activités ?
C’est justement pour s’assurer que les Partenariats seront conclus dans les Règles de l’Art, que la Président Mohamed Bazoum a nommé un nouveau Directeur General à l’ANPIPS, un économiste parfaitement connaisseur des Dossiers à enjeux stratégiques.
Au demeurant c’est la perspective de la dynamisation de l’APIPS qui explique en partie, les hésitations observées dans la prise en charge officielle de l’Offre du Groupe malien IBI, pour construire des Universités aux normes futuristes. Ce faisant il contribuera à concrétiser une PROMESSE phare du Président Mohamed BAZOUM.
Finement on peut conclure pour le Groupe de Mr Ibrahima Diaxara, que à quelque chose retard est bon.
Enfin une invité au Président Mohamed de mettre le cap et de mettre les voilures, accueillir les Investisseurs sans préjugés et dynamiser l’ANPIPS.
Sanda